Avec les domestiques qui quittent la capitale pour passer la tabaski dans leur villages, les mères de famille sont confrontées à une double équation. Prise entre le marteau des taches ménagères et l'enclume des préparations des repas, ces dernières ne savent plus où mettre les pieds. "Je n'ai pas de bonne depuis quartes jours. Elle est parti chez elle, à son village. je suis fatiguée." cette phrase émane d'une mère de famille que nous avons trouvée chez elle, entrain de faire le ménage. Le constat est le même dans d'autres maisons où les mères de famille font leur propre ménage. une situation trop dure pour ces dames qui n'ont pas l'habitude de faire un tel travail que ces braves filles abattent chaque jour sans avoir en retour une simple reconnaissance.
Aprés la Tabaski, les bonnes se font désirer...Les maîtresses de maison sont entre le marteau et l'enclume. l'absence des bonnes dans les maisons se fait terriblement sentir. Les dames sont entre les préparations des repas et les taches ménagères. les bonnes à tout faire sont parties pour une ou deux semaines au village pour les fêtes de Tabaski.Rédigé par leral.net le Mercredi 9 Novembre 2011 à 10:21 | | 3 commentaire(s)|
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