Ainsi, selon le Général de brigade, Paul Ndiaye, Directeur général du Centre des hautes études de défense et de sécurité (CHEDS), « il s’avère nécessaire, aujourd’hui, d’impliquer l’ensemble des composantes de la nation notamment les médias dans la mise en œuvre des stratégies de défense nationale, pour susciter l’émergence de citoyens conscient des défis et de leurs responsabilités en matières de défense et de sécurité ».
Parce que, dit-il, « le contexte géopolitique actuel, l’évolution de la typologie des conflits et surtout l’irruption de nouveaux acteurs non étatiques impose aux Etats d’adapter leur politique de défense et de sécurité ». Toujours, le Général Paul Ndiaye est d’avis que « l’expérience a démontré à suffisance l’importance de l’information dans ce village planétaire ou plus rien n’est plus un secret absolu pendant très longtemps ».
Il poursuit en ajoutant que « la propension des membres des forces de défense et de sécurité à se taire et celle des médias à vouloir tout dire et surtout en cherchant le non dit constituent les deux facteurs qui ont souvent été à l’origine de méfiance et d’incompréhension. Cependant, l’armée et la presse doivent arriver à travailler ensemble à la promotion de la sécurité, de la défense et de la paix au Sénégal et dans la sous-région et qu’il ne s’agit point d’une tentative de mettre les médias au service d’une cause partisane ».
C’est en ce sens qu’il a soutenu, fort d’une large expérience sur le terrain, notamment en zone de conflit en Casamance et au Mali, que « la sécurité implique désormais une multitude d’acteurs très différents les uns des autres et les médias sont au cœur de cette dynamique en évolution constante ».
Lateranga.Info
Parce que, dit-il, « le contexte géopolitique actuel, l’évolution de la typologie des conflits et surtout l’irruption de nouveaux acteurs non étatiques impose aux Etats d’adapter leur politique de défense et de sécurité ». Toujours, le Général Paul Ndiaye est d’avis que « l’expérience a démontré à suffisance l’importance de l’information dans ce village planétaire ou plus rien n’est plus un secret absolu pendant très longtemps ».
Il poursuit en ajoutant que « la propension des membres des forces de défense et de sécurité à se taire et celle des médias à vouloir tout dire et surtout en cherchant le non dit constituent les deux facteurs qui ont souvent été à l’origine de méfiance et d’incompréhension. Cependant, l’armée et la presse doivent arriver à travailler ensemble à la promotion de la sécurité, de la défense et de la paix au Sénégal et dans la sous-région et qu’il ne s’agit point d’une tentative de mettre les médias au service d’une cause partisane ».
C’est en ce sens qu’il a soutenu, fort d’une large expérience sur le terrain, notamment en zone de conflit en Casamance et au Mali, que « la sécurité implique désormais une multitude d’acteurs très différents les uns des autres et les médias sont au cœur de cette dynamique en évolution constante ».
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