Selon la journaliste qui s’exprimait hier, jeudi 5 mars, en marge de la table ronde organisée par l’Institut Panos Afrique de l’Ouest (Ipao) sur le thème: «Les médias à l’épreuve des droits des femmes», à la radio on passe inaperçue et on n’a moins de soucis. Cependant, elle tient à préciser que malgré cette situation, elle vit sa vie comme elle l’entend. «Là où j’habite, je n’ai aucune difficulté. Je sors comme je veux pour vaquer tranquillement à mes occupations sans pour autant me soucier de quoi que ce soit», clarifie-t-elle.
En ce qui concerne les difficultés des femmes de medias dans l’exercice de leur profession, la journaliste explique que «c’est dur». «Ce n’est pas facile, certes, de vouloir faire convenablement son travail sans reproche et en même temps assumer ses responsabilités de mère de famille et d’épouse», fait-elle remarquer.
Dans ce contexte, elle pense qu’il faut s’armer de courage. «On devrait aussi mieux encadrer et encourager les femmes pour qu’elles parviennent à s’en sortir». Astou Mbène Thioub propose ainsi que des crèches soient aménagées au niveau des entreprises pour soutenir et permettre à celles qui allaitent ou qui ont des enfants à bas-âge, de ne point se soucier mais aussi d’être plus productives.
Sudonline
En ce qui concerne les difficultés des femmes de medias dans l’exercice de leur profession, la journaliste explique que «c’est dur». «Ce n’est pas facile, certes, de vouloir faire convenablement son travail sans reproche et en même temps assumer ses responsabilités de mère de famille et d’épouse», fait-elle remarquer.
Dans ce contexte, elle pense qu’il faut s’armer de courage. «On devrait aussi mieux encadrer et encourager les femmes pour qu’elles parviennent à s’en sortir». Astou Mbène Thioub propose ainsi que des crèches soient aménagées au niveau des entreprises pour soutenir et permettre à celles qui allaitent ou qui ont des enfants à bas-âge, de ne point se soucier mais aussi d’être plus productives.
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