L’Etat, en passant à l’acte, pense avoir permis aux agents de la Fonction publique de retrouver leur havre de paix et de sacrifier au sacrifice d’Abraham. En effet, trouver un bélier reste une « souffrance » pour des milliers de pères de famille de la Fonction publique.
« Les gens en parlent mais il faut dire que c’est de l’argent que l’on nous prête et que nous allons rembourser. C’est quelque chose que l’on avance sur un salaire et chaque mois, on coupe 10.000 FCfa. C’est le cas quand c’était à 50 mille, on coupait 5 mille », explique Dame Mbodj.
Pour lui, il n’y a aucune différence et c’est comme si Macky venait de réaliser un miracle pour les enseignants. « C’est juste que le montant était faible et cela ne permettait pas à des enseignants de trouver un mouton. Déjà, il ya une flambée des prix des denrées, à telle enseigne que vivre st devenu difficile au Sénégal. Les moutons qui coûtaient 50 000 il y a dix ans, coûtent aujourd’hui 120.000 FCfa. C’est vrai qu’une avance de 100 mille vaut mieux que 50 mille, mais il faut reconnaître que cet argent n’est pas gratuit », ajoute-t-il.
« Les gens en parlent mais il faut dire que c’est de l’argent que l’on nous prête et que nous allons rembourser. C’est quelque chose que l’on avance sur un salaire et chaque mois, on coupe 10.000 FCfa. C’est le cas quand c’était à 50 mille, on coupait 5 mille », explique Dame Mbodj.
Pour lui, il n’y a aucune différence et c’est comme si Macky venait de réaliser un miracle pour les enseignants. « C’est juste que le montant était faible et cela ne permettait pas à des enseignants de trouver un mouton. Déjà, il ya une flambée des prix des denrées, à telle enseigne que vivre st devenu difficile au Sénégal. Les moutons qui coûtaient 50 000 il y a dix ans, coûtent aujourd’hui 120.000 FCfa. C’est vrai qu’une avance de 100 mille vaut mieux que 50 mille, mais il faut reconnaître que cet argent n’est pas gratuit », ajoute-t-il.