leral.net | S'informer en temps réel

Bara Ndiaye, de l’APR, traite le journaliste, Adama Gaye de «vulgaire jaloux qui cherche le buzz»


Rédigé par leral.net le Jeudi 22 Septembre 2016 à 21:07 | | 0 commentaire(s)|

Bara Ndiaye, de l’APR, traite le journaliste, Adama Gaye de «vulgaire jaloux qui cherche le buzz»
Cher «confrère»
 
«Dans une sortie infectée de mensonges et de ressentiment, tu parles du Président Macky SALL et de son frère Aliou SALL en des termes qui résonnent  encore dans les oreilles de ceux qui sont sensibles à la décence. De ton propos rageur, je n’ai retenu que ce pathétique et lamentable passage : « Je vous ai connu tous les deux pauvres. Souviens-TOI du jour où tu es venu me voir au Novotel Dakar ou du premier Contrat de pétrole que je t'ai fait obtenir (pour le Sénégal) grâce à mon ami, Dr. Rilwanu Lukman, ex. Président-Secrétaire général de l'OPEP, ou de notre virée à Rotterdam... ».
 
Dans ta volonté de faire mal en utilisant la tyrannie verbale comme arme de délation massive, tu as défié l’honneur et l’éthique. Sans aucun doute, Macky SALL éviterait de te connaitre s’il savait, un seul instant, que tu rappellerais au Président de la République qu’il est devenu par la grâce de Dieu et par son sens de la combativité, du courage et de la persévérance, sa condition d’ancien pauvre.
 
Cher Adama,
 
Au pays de Khadim Rassoul, Seydi Hadji Malick SY, Limamou Lahi, Hyacinthe THIANDOUM, la pauvreté n’a jamais été et ne sera jamais un crime ou un facteur  d’asservissement, quoique certaines personnes de ta race voient en la richesse matérielle, une religion et un critère d’appartenance à l’élite de l’échelle sociale.  
 
A t’entendre parler, je ne vois pas uniquement le vulgaire jaloux encore moins quelqu’un qui cherche le buzz, mais un homme qui fait de son mal l’affaire des autres pour parler comme Antoine Leiris que je te cite : « pour s’excuser de sa déchéance, il faut bien sûr avoir un coupable sous la main, quelqu'un sur qui l'on peut reporter sa colère, c'est une porte entrouverte, une occasion d'esquiver sa souffrance. Et plus le crime est odieux, plus le coupable est idéal, plus la haine est légitime. On pense à lui pour ne plus penser à soi, on le déteste lui pour ne pas haïr sa condition, on se réjouit de sa mort pour ne plus sourire à ceux qui restent… » Fin de citation.
 
Cher «confrère»
 
Tu as raté une bonne occasion de prouver au Sénégalais que tu sais des choses pas transparentes. Retenez-moi ou je fais des dégâts, c’est la méthode de ceux qui se savent rien du tout. Tes longues élucubrations viennent juste polluer davantage un débat politique déjà vicié par une pluie de monstrueux mensonges d’opposants en pannes de propositions et ce, après la publication des contrats pétroliers sur initiative du gouvernement.
 
Ton comportement peu recommandable ne poussera certainement pas tes amis de l’entourage présidentiel à étaler sur la place publique les preuves de ton ingratitude, quoique ton attitude rappelle bien la manière de faire d’un visiteur du soir auquel on a poliment refusé un privilège indu.        
 
Ta dégradante sortie n’aura pas la résonance recherchée parce ce que tellement compromise la haine et l’inconséquence qui en sont la trame de fond». 

Bara Ndiaye, de l’APR, traite le journaliste, Adama Gaye de «vulgaire jaloux qui cherche le buzz»