"En effet, cela fait une semaine que nous sommes dans la rue simplement parce que nos employeurs n'ont pas voulu accueillir les revendications des travailleurs. Depuis le mois de mai, nous sommes en négociation avec l'employeur, tout se passait bien jusqu'au moment où il fallait recueillir la position des travailleurs, ce que nous avons fait. Mais nous sommes revenus avec la position des travailleurs, le Général et ses collaborateurs n'ont pas voulu prendre en compte les revendications des travailleurs", martèle M. Wade. Pire encore, soutient-il, "le Général et ses collaborateurs ont rompu les négociations et, depuis lors, il n'y a plus de négociations ni de concertations".
Interpellé sur les revendications en question, il souligne qu'ils sont au nombre de 21 et concernent, entre autres, les conditions de travail, la retraite, l'incorporation des emplois précaires dans l'accord d'entreprise, la restauration et la prise en charge social des travailleurs civils.
A en croire le secrétaire général du Synpas, le Général Chariau est le facteur bloquant des concertations. "Chariau est le problème majeur que nous avons. Il est là depuis deux ans, mais, en deux ans, il a détruit tout ce qui a été construit par ses prédécesseurs, notamment en dialogue social au sein des bases françaises. Aujourd'hui, c'est le facteur bloquant et nous voulons qu'il dégage pour qu'on puisse discuter parce qu'on ne peut pas laisser la situation pourrir comme ça", lance Ndiouga Wade.
Saly Sagne
(Stagiaire)
Interpellé sur les revendications en question, il souligne qu'ils sont au nombre de 21 et concernent, entre autres, les conditions de travail, la retraite, l'incorporation des emplois précaires dans l'accord d'entreprise, la restauration et la prise en charge social des travailleurs civils.
A en croire le secrétaire général du Synpas, le Général Chariau est le facteur bloquant des concertations. "Chariau est le problème majeur que nous avons. Il est là depuis deux ans, mais, en deux ans, il a détruit tout ce qui a été construit par ses prédécesseurs, notamment en dialogue social au sein des bases françaises. Aujourd'hui, c'est le facteur bloquant et nous voulons qu'il dégage pour qu'on puisse discuter parce qu'on ne peut pas laisser la situation pourrir comme ça", lance Ndiouga Wade.
Saly Sagne
(Stagiaire)