Les émeutes qui se sont déroulés ces derniers jours au Sénégal suite à l’affaire Ousmane Sonko-Adji Sarr, ne sont pas sans conséquences économiques. Selon les estimations du Bureau de prospective économique (Bpe), les dégâts causés sont énormes. Son Directeur général, Moubarack Lô, a estimé les pertes à des dizaines de milliards de F Cfa au plan national.
« Pour le moment, ce n’est pas facile d’évaluer exactement les pertes économiques de ces évènements au plan national. Disons, ce sont des dizaines de milliards de FCfa, de manière directe, qui sont perdus. Toutes ces destructions, il faudra les remplacer », a déclaré Moubarack Lô, dans les colonnes de "L’Observateur".
Selon M. Lô, c’est un impact considérable pour l’économie nationale. « Dans les rues, des enseignes publicitaires ont été détruites. Des pneus ont été brûlés sur la chaussée, des voitures (des privés et de l’Etat) ont été caillassées, des banques, des maisons et des boutiques ont été attaquées. Tout ceci ne peut être que défavorable pour les indicateurs de conjonctures ».
A en croire le Dg du Bpe, les banques et le secteur financier ont été impactés. Pis, s’est désolé M. Lô, « il y a un aspect plus grave que cela. C’est la perte de confiance des bailleurs ».
Malgré tous ces faits regrettables, Moubarack Lô reste optimiste. « Le pays a toujours su relever les défis. Donc, on peut être optimiste et penser que les bons choix seront pris de tous les côtés (...) ».
« Pour le moment, ce n’est pas facile d’évaluer exactement les pertes économiques de ces évènements au plan national. Disons, ce sont des dizaines de milliards de FCfa, de manière directe, qui sont perdus. Toutes ces destructions, il faudra les remplacer », a déclaré Moubarack Lô, dans les colonnes de "L’Observateur".
Selon M. Lô, c’est un impact considérable pour l’économie nationale. « Dans les rues, des enseignes publicitaires ont été détruites. Des pneus ont été brûlés sur la chaussée, des voitures (des privés et de l’Etat) ont été caillassées, des banques, des maisons et des boutiques ont été attaquées. Tout ceci ne peut être que défavorable pour les indicateurs de conjonctures ».
A en croire le Dg du Bpe, les banques et le secteur financier ont été impactés. Pis, s’est désolé M. Lô, « il y a un aspect plus grave que cela. C’est la perte de confiance des bailleurs ».
Malgré tous ces faits regrettables, Moubarack Lô reste optimiste. « Le pays a toujours su relever les défis. Donc, on peut être optimiste et penser que les bons choix seront pris de tous les côtés (...) ».
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