« C’est faire preuve d’un manque flagrant élémentaire de vision que de penser que l’externalisation est « l’option résolue d’aller vite et bien dans la réponse à apporter aux populations », écrit Birahim Seck. Selon lui, « c’est mal connaître les procédures du Pnud ». Cette volonté d’aller résolument vite ne fera-t-elle pas que les porteurs de croissance que sont les petites et moyennes entreprises (Pme) ne bénéficieront pas du Programme, d’une part, et que, d’autre part, les grandes entreprises seront surchargées ? Autant de questionnements pour montrer une inquiétude. « Le risque couru est qu’au finish, tout soit bloqué dans la phase d’exécution », avertit Birahim Seck.
C’est pourquoi, prône-t-il, au lieu d’attendre que le Pnud ne se rabatte totalement sur l’administration, le Pudc ne doit-il pas revenir dans l’administration, avec la contribution du ministère chargé des Infrastructures pour les pistes rurales, mais aussi l’Agetip, qui a une grande expérience en matière de construction de forages, la Sones et les techniciens du ministère de l’Hydraulique, autant de structures qui ont cumulé une grande somme d’expériences en matière de construction de châteaux d’eau ? Seck, reprenant l’ancien ministre Abdoulaye Makhtar Diop, soutient qu’ « aller très vite ne veut pas dire se mettre en marge des procédures et des organes de contrôle ».
C’est pourquoi, prône-t-il, au lieu d’attendre que le Pnud ne se rabatte totalement sur l’administration, le Pudc ne doit-il pas revenir dans l’administration, avec la contribution du ministère chargé des Infrastructures pour les pistes rurales, mais aussi l’Agetip, qui a une grande expérience en matière de construction de forages, la Sones et les techniciens du ministère de l’Hydraulique, autant de structures qui ont cumulé une grande somme d’expériences en matière de construction de châteaux d’eau ? Seck, reprenant l’ancien ministre Abdoulaye Makhtar Diop, soutient qu’ « aller très vite ne veut pas dire se mettre en marge des procédures et des organes de contrôle ».