Cependant, il a laissé entendre que les choses peuvent se retourner contre ceux qui les ont initiées. « On ne peut pas appeler les jeunes à un combat de gladiateurs, à descendre dans la rue avec une violence verbale, et se précipiter pour aller déposer une plainte contre l’Etat au niveau de la CPI. Je crois que s’il y a une enquête sérieuse qui est menée plus tard, les gens qui partiront présenter cette plainte, seront les premiers inculpés », a-t-il averti.
Pour lui, le chef de l’Etat n’a pas été à l’origine de ces décès. « Macky Sall n’a jamais appelé à la violence et aux combats de gladiateurs. De l’autre côté, il y a eu des appels à la violence et c’était visible », ajoute-t-il. A l’en croire, au Sénégal, la politique est devenue méconnaissable puisque à la place des idéologies, on est passé à l’hystérie du pouvoir, à la délation, à la manipulation, aux menaces. Et cela est déplorable. « Il faut revenir à des principes qui sous-tendent notre démocratie. Des dérives même ethniques sont notées et les politiques ont une grande responsabilité sur ça. Je voudrais demander aux Sénégalais de dire non à ces pratiques qui risquent de nous amener dans des épreuves difficiles », dit-il.[
Pour lui, le chef de l’Etat n’a pas été à l’origine de ces décès. « Macky Sall n’a jamais appelé à la violence et aux combats de gladiateurs. De l’autre côté, il y a eu des appels à la violence et c’était visible », ajoute-t-il. A l’en croire, au Sénégal, la politique est devenue méconnaissable puisque à la place des idéologies, on est passé à l’hystérie du pouvoir, à la délation, à la manipulation, aux menaces. Et cela est déplorable. « Il faut revenir à des principes qui sous-tendent notre démocratie. Des dérives même ethniques sont notées et les politiques ont une grande responsabilité sur ça. Je voudrais demander aux Sénégalais de dire non à ces pratiques qui risquent de nous amener dans des épreuves difficiles », dit-il.[