La nouvelle demeure d’Assane Diouf est le centre fédéral de détention pour l’immigration, situé à Oakdale, dans l’Etat de Louisiane. L’établissement appartient à l’Etat fédéral et, est exploité par le Bureau des prisons (Bop).
C’est un centre réservé aux immigrés en transfert ou en procédure d’expulsion. Le centre a essuyé des critiques de plusieurs organisation non gouvernementales et défense des droits de l’homme, notamment en ce qui concerne la qualité des soins médicaux, qui sont inadéquats aux quelque 600 détenus qui y sont.
Jusqu’à trois semaines pour voir un juge et la procédure peut prendre plus de trois mois
Au centre de détention d’Oakdale, le détenu peut rester trois semaines avant de voir le juge d’immigration, parmi les trois juges (Jerry Beatman, John A. Duk Jr et Angelis R Reese) que compte le tribunal, qui se trouve au sein du centre même.
Après avoir vu le juge, le dossier est résolu entre un et trois mois. Toutefois, cette limite peut être dépassée, selon la complexité du dossier et les appels qu’aura à faire le détenu. Les détenus sont éligibles à la libération, en tenant compte de leurs antécédents, criminels ou non, de leurs liens familiaux aux Etats-Unis et de leur ancienneté sur le sol américain.
Dans la procédure d’expulsion, les services de l’immigration tente de démontrer que le détenu n’a pas le droit de vivre aux Etats-Unis , alors que le détenu a la possibilité de faire recours à des lois et des preuves, pour se disculper.
Et il a le droit, avant toute expulsion, a une présentation devant le tribunal de l’immigration. Quand un détenu est libéré du centre, son dossier est automatiquement transféré à la Cour d’immigration de la Nouvelle-Orléans.
Assane Diouf a des latinos comme nouveaux voisins
Selon les statistiques actuelles, le centre de détention d’Oakdale compte environ 630 détenus. Et la majorité d’entre eux, sont des ressortissants des pays d’Amérique latine, en particulier, du Guatemala, du Mexique et du Honduras.
Les Echos
C’est un centre réservé aux immigrés en transfert ou en procédure d’expulsion. Le centre a essuyé des critiques de plusieurs organisation non gouvernementales et défense des droits de l’homme, notamment en ce qui concerne la qualité des soins médicaux, qui sont inadéquats aux quelque 600 détenus qui y sont.
Jusqu’à trois semaines pour voir un juge et la procédure peut prendre plus de trois mois
Au centre de détention d’Oakdale, le détenu peut rester trois semaines avant de voir le juge d’immigration, parmi les trois juges (Jerry Beatman, John A. Duk Jr et Angelis R Reese) que compte le tribunal, qui se trouve au sein du centre même.
Après avoir vu le juge, le dossier est résolu entre un et trois mois. Toutefois, cette limite peut être dépassée, selon la complexité du dossier et les appels qu’aura à faire le détenu. Les détenus sont éligibles à la libération, en tenant compte de leurs antécédents, criminels ou non, de leurs liens familiaux aux Etats-Unis et de leur ancienneté sur le sol américain.
Dans la procédure d’expulsion, les services de l’immigration tente de démontrer que le détenu n’a pas le droit de vivre aux Etats-Unis , alors que le détenu a la possibilité de faire recours à des lois et des preuves, pour se disculper.
Et il a le droit, avant toute expulsion, a une présentation devant le tribunal de l’immigration. Quand un détenu est libéré du centre, son dossier est automatiquement transféré à la Cour d’immigration de la Nouvelle-Orléans.
Assane Diouf a des latinos comme nouveaux voisins
Selon les statistiques actuelles, le centre de détention d’Oakdale compte environ 630 détenus. Et la majorité d’entre eux, sont des ressortissants des pays d’Amérique latine, en particulier, du Guatemala, du Mexique et du Honduras.
Les Echos