«Dire que si on dépénalise, mentionne-t-il, il y aura une rupture de légalité entre les citoyens ne me parait pas pertinent. Les journalistes demeurent des citoyens. Par rapport aux infractions auxquels tous les Sénégalais sont susceptibles d’être soumis, les journalistes demeurent soumis. Mais là, le problème ne concerne que de ce qui peut arriver dans le cadre de la profession».
Selon lui, «on peut trouver un moyen de compenser le préjudice dans la partie supposée victime sans pourtant envoyer quelqu’un qui aurait simplement commis une maladresse ou commis une faute professionnelle. Les journalistes ont évolué et parlent de déprisonalisation et non pas dépénalisation. Il est normal de les protéger en vertu du droit à l’information des citoyens et de leur devoir d’informer dans des conditions difficiles».
Selon lui, «on peut trouver un moyen de compenser le préjudice dans la partie supposée victime sans pourtant envoyer quelqu’un qui aurait simplement commis une maladresse ou commis une faute professionnelle. Les journalistes ont évolué et parlent de déprisonalisation et non pas dépénalisation. Il est normal de les protéger en vertu du droit à l’information des citoyens et de leur devoir d’informer dans des conditions difficiles».