« Car je n’accepterai plus un renvoi ! Au mois de mars dernier, j’avais clairement dit qu’il ne s’agissait pas de Ousmane Sonko mais de la démocratie sénégalaise. Et aujourd’hui, je reviens dire encore qu’il ne s’agit pas de Barthélémy Dias, mais de la démocratie sénégalaise.
Le problème du Sénégal, c’est sa justice. J’ai été condamné à deux ans de prison dont six mois ferme. J’ai fait appel. Depuis que j’ai interjeté appel, le dossier ne fait que l’objet de renvois. J’ai pris l’engagement de n’insulter aucun magistrat.
Mais dire que, aujourd’hui, ma convocation a été programmée bien avant ma candidature à la mairie de Dakar, cela relève d’un gros mensonge », a fait savoir Barthélémy Dias convoqué dans le cadre de l’affaire Ndiaga Diouf, du nom de ce gros bras tué en 2011 lors d’une attaque à la mairie de Mermoz-Sacré-Cœur. Pourtant, « Le Témoin » a appris que ses avocats ont décidé, une fois à l’audience de demain, de faire renvoyer l’affaire jusqu’après les élections locales de janvier 2022 c’est-à-dire courant février ou mars 2022. Comme quoi, le prévu Barthélémy Diaz va ramer à contre-courant de ses avocats. Qui vivra verra !
Le Témoin
Le problème du Sénégal, c’est sa justice. J’ai été condamné à deux ans de prison dont six mois ferme. J’ai fait appel. Depuis que j’ai interjeté appel, le dossier ne fait que l’objet de renvois. J’ai pris l’engagement de n’insulter aucun magistrat.
Mais dire que, aujourd’hui, ma convocation a été programmée bien avant ma candidature à la mairie de Dakar, cela relève d’un gros mensonge », a fait savoir Barthélémy Dias convoqué dans le cadre de l’affaire Ndiaga Diouf, du nom de ce gros bras tué en 2011 lors d’une attaque à la mairie de Mermoz-Sacré-Cœur. Pourtant, « Le Témoin » a appris que ses avocats ont décidé, une fois à l’audience de demain, de faire renvoyer l’affaire jusqu’après les élections locales de janvier 2022 c’est-à-dire courant février ou mars 2022. Comme quoi, le prévu Barthélémy Diaz va ramer à contre-courant de ses avocats. Qui vivra verra !
Le Témoin