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Conflit ARP-Rewmi: Quelle position pour BBY ?

Entre le parti Rewmi de l’ancien Premier ministre Idrissa Seck et l’Alliance pour la République (APR) du président Macky Sall, ce n’est plus le parfait amour. Par cellules des cadres et jeunes interposés, les deux formations n’ont pas arrêté de se lancer des piques, durant toute la semaine. Mais, étonnamment, personne n’a entendu un seul responsable de la coalition "Bennoo Bokk Yakaar" élever la voix pour demander une accalmie ou jouer les médiateurs.


Rédigé par leral.net le Mercredi 6 Février 2013 à 15:57 | | 2 commentaire(s)|

Conflit ARP-Rewmi: Quelle position pour BBY ?
Le quotidien "Enquête", qui s’étonne du mutisme de la coalition qui a porté le président Macky Sall au pouvoir, et qui se trouve déchirée par une querelle entre deux de ses plus grandes composantes, fait remarquer que «relégué à l’arrière-plan du conflit Rewmi et APR, la coalition Bennoo Bokk Yakaar semble condamnée à la passivité», parce que «spectatrice d’un duel entre deux hommes qui disent ouvertement avoir encore des ambitions présidentielles».

Pourtant, à en croire le journal, certains dignitaires du régime de Macky Sall, Landing Savané notamment, «ne sont pas surpris». Le leader de l’autre branche du parti communiste AJ/Pads, dont le journal cite les propos, précise d’abord n’être pas membre de la coalition BBY (sic), parle d’un «fonctionnement qui laisse à désirer». L’ancien ministre d’Etat de Wade déplore le «manque de concertation dans la coalition, même si formellement elle n’existe pas». Selon l’ancien maoïste, dans cette coalition, il y a deux camps : «ceux qui sont en compétition directe et ceux qui sont dans une alliance pour maintenir des positions» (des strapontins ou parts de gâteau ?).

Quant au Dr Dialo Diop, secrétaire général de l’autre branche du RND du défunt professeur Cheikh Anta Diop, il fait remarquer, dans le même journal, que ce ne sont que des «querelles entre libéraux» et qu’ils ne se sentent pas concernés parce que ceux-là, à ses yeux, «ne se soucient pas de l’intérêt national».

Après cette première fracture imminente dans la coalition, qu’en restera-t-il au moment d’aller à la (re)conquête des collectivités locales, en 2014 ?
Lesenegalais.net



1.Posté par baolbaol bi le 06/02/2013 17:21 | Alerter
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il faut redéfinir le libéralisme dans le contexte actuel ! plus interventionniste que les 4 prési qui se sont succédés on n'en trouve pas ! a-t-on même besoin de libéralisme! c'est de mutations dans les comprtements dont a besoin ; le reste viendra après la rationnalisation des actes quotidiens et des croyances !

2.Posté par schwarzeraal le 06/02/2013 21:14 | Alerter
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il faut arreter ce folklore et etre civilisé.ces jeunes ne font que du bruit pour rien.les signataires de la coaliton s´il y signature ne voient pas un danger pour la coalition dans laquelle chaque parti peut battre sa campagne et et rejoindre les rangs.tournez vous dans d´autres pays civilisés dirigés par une coalition chaqu´un fait le béye saware aupres de ses electeurs ,mieux fair des voix pour peser sur la balance. que se passera si rewmi n´arrive pas á surmonter ses 7% qui l´ont permis d´etre dans la coalition? rewmi a interet á travailer pour conforter sa position et non mener des querrelles cela peut conduire á sa perte. vous les jeunes de l´apr si vous ne faites pas attention le pds vous attend sur la touche.

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