Le Recteur Ibrahima Thioub s'est indigné, d'après EnQuête, du fait que les funérailles du Pr Oumar Sankharé "aient malheureusement donné lieu à quelques propos malveillants et outrageants accusant l'administration de l'Université de lui avoir refusé un contrat, de l'avoir sommé, par exploit d'huissier, de libérer son logement ; bref, de l'avoir harcelé par des dénis de droit". Le recteur Thioub, qui reconnait l'existence d'une sommation, assure qu'il ne s'agit guère d'une mesure sélective. "Des sommations d'huissier ont été effectivement servies, après maints rappels et sommations administratives, à tous les occupants irréguliers des logements administratifs : à tous, sans exception ni parti pris, y compris notre collègue Sankharé", a-t-il précisé dans le journal.
Mieux, indique le Rectorat qui assure avoir les documents de preuves, "le Professeur Sankharé avait reçu l'accord du recteur pour fixer lui-même la date à laquelle il pourrait libérer le logement. Ainsi, reçu, à sa demande, par la commission ad hoc du rectorat, il a sollicité un sursis de quelques mois, le délai nécessaire pour restaurer sa propriété privée". Aussi, Ibrahima Thioub et ses collaborateurs estiment-ils que la communauté universitaire "ne saurait abonder dans ces excès et rumeurs qui sont de nature à jeter l'opprobre sur la mémoire de "leur" défunt collègue qui a servi l'université avec honneur et dignité tout au long de sa carrière".
Mieux, indique le Rectorat qui assure avoir les documents de preuves, "le Professeur Sankharé avait reçu l'accord du recteur pour fixer lui-même la date à laquelle il pourrait libérer le logement. Ainsi, reçu, à sa demande, par la commission ad hoc du rectorat, il a sollicité un sursis de quelques mois, le délai nécessaire pour restaurer sa propriété privée". Aussi, Ibrahima Thioub et ses collaborateurs estiment-ils que la communauté universitaire "ne saurait abonder dans ces excès et rumeurs qui sont de nature à jeter l'opprobre sur la mémoire de "leur" défunt collègue qui a servi l'université avec honneur et dignité tout au long de sa carrière".