Malick Noël Seck et les autres initiateurs du contre sommet de la francophonie ont lancé un vaste programme pour montrer aux africaines que cette organisation « n’est plus une organisation pour la promotion de la langue française, mais pour mieux asseoir la diplomatie française, pour recoloniser l’Afrique ».
Selon Malick Noël Seck, la francophonie n’est rien d’autre que « l’ONU bis, une institution de la françafrique, une supercherie, …», sinon s’interroge-t-il, «comment comprendre la tenue d’un sommet chez Sassou Nguésso, valider la dictature héréditaire au Togo et au Gabon, (…). On se demande alors quelles sont les vraies motivations de l’OIF» ?
« Il faut que les Africains se réveillent. Nous ne sommes pas dupes », appelle-t-il, avant de préciser : « Nous n’avons pas de problème avec la langue française, ni avec les français mais avec l’Organisation Internationale de la Francophonie».
Ferloo
Selon Malick Noël Seck, la francophonie n’est rien d’autre que « l’ONU bis, une institution de la françafrique, une supercherie, …», sinon s’interroge-t-il, «comment comprendre la tenue d’un sommet chez Sassou Nguésso, valider la dictature héréditaire au Togo et au Gabon, (…). On se demande alors quelles sont les vraies motivations de l’OIF» ?
« Il faut que les Africains se réveillent. Nous ne sommes pas dupes », appelle-t-il, avant de préciser : « Nous n’avons pas de problème avec la langue française, ni avec les français mais avec l’Organisation Internationale de la Francophonie».
Ferloo