« En une semaine, j’ai eu une dizaine de commandes alors qu’il y a quelques temps, je confectionnais 1 à 2 cercueils tous les trois mois », confie à L’Observateur, Jean Gaye, spécialisé dans la confection de cercueils artisanaux. L’ébéniste a vu son chiffre d’affaire augmenté depuis l’apparition du variant Delta.
La commercialisation des cercueils est devenue un business très lucratif. Dans l’atelier de Jean, les prix varient de 100 à 400.000 FCFA. « Tout dépend du modèle du client. Le prix d’un cercueil est très élevé à cause des accessoires. Nous achetons les poignets, la croix et le panneau ».
Dans un autre atelier de fabrication de cercueils situé aux Parcelles assainies, Antoine dit être obligé de vendre les cercueils entre 85.000 à 100.000 FCFA, une manière, selon lui, de « soutenir les familles endeuillées en ces temps difficiles ».
La commercialisation des cercueils est devenue un business très lucratif. Dans l’atelier de Jean, les prix varient de 100 à 400.000 FCFA. « Tout dépend du modèle du client. Le prix d’un cercueil est très élevé à cause des accessoires. Nous achetons les poignets, la croix et le panneau ».
Dans un autre atelier de fabrication de cercueils situé aux Parcelles assainies, Antoine dit être obligé de vendre les cercueils entre 85.000 à 100.000 FCFA, une manière, selon lui, de « soutenir les familles endeuillées en ces temps difficiles ».