Le mouvement « Tout va mal » a fait face à la presse, hier, pour attirer l’attention des autorités étatiques sur la situation qui sévit dans le sud du pays, en l'occurrence la crise universitaire et casamançaise. « Nous avons trouvé l’université qui est un temple du savoir dans un état de délabrement avancé. Sans compter les problèmes liés aux volets pédagogiques et sociaux comme les surcharges dans les amphithéâtres et le retard des paiements des bourses », a déploré le coordonnateur dudit mouvement. Blaise Pascal Cissé demande à l’Etat du Sénégal à respecter les engagements tout en invitant les étudiants à reprendre les cours.
Dans un autre registre, « Tout va mal » a rencontré des autorités locales en Casamance pour parler de la crise qui perdure dans cette zone. « Il y a un problème d’intégration qui se pose ici. Nous avons constaté que les gens qui vivent au sud ont tendance à dire qu’ils vont au Sénégal en venant à Dakar. Nous sommes en train de faire de la Casamance un pays sans nous en rendre compte », soutiennent les membres de cette organisation. Ainsi, ils invitent le Président Macky Sall et les intellectuels du pays à donner le bon exemple en n’utilisant plus « en » ou « la » devant la Casamance. Parce qu’on les utilise souvent quand on veut nommer un pays », expliquent-ils.
Dans un autre registre, « Tout va mal » a rencontré des autorités locales en Casamance pour parler de la crise qui perdure dans cette zone. « Il y a un problème d’intégration qui se pose ici. Nous avons constaté que les gens qui vivent au sud ont tendance à dire qu’ils vont au Sénégal en venant à Dakar. Nous sommes en train de faire de la Casamance un pays sans nous en rendre compte », soutiennent les membres de cette organisation. Ainsi, ils invitent le Président Macky Sall et les intellectuels du pays à donner le bon exemple en n’utilisant plus « en » ou « la » devant la Casamance. Parce qu’on les utilise souvent quand on veut nommer un pays », expliquent-ils.