Ça tombe bien, elle rencontre à Dakar quelqu'un qui cherche une assistante bilingue français - anglais qui s'engage à le rémunérer au même niveau qu'en France. Elle fait ses bagages et débarque à Dakar. Mais au bout de quelques mois, son employeur plie bagages et rentre chez lui. Mais Kadia décide de rester au pays. Avec ses économies, elle ouvre un fast-food à Yoff qui commence à bien marcher quand un grand musicien de la place, propriétaire du terrain qui jouxte son « affaire » s'en mêle. Il exige le déplacement du fast-food parce que l'endroit occupé devait lui servir d'espace vert. Le contrat signé avec la mairie ne la couvre pas et son commerce est démoli. « J'y ai laissé toutes mes économies », regrette-t-elle.
Qu'à cela ne tienne, loin de baisser les bras, elle fait appel à son expérience d'ancienne Pub modèle, de mannequin, d'hôtesse et d'intérimaire au Sénégal et en France pour lancer l'agence d'intérim « Cérises » il y a six mois. « Pourquoi se contenter d'un salaire mensuel alors que l'on peu monter sa propre affaire », s'interroge-t-elle. L'agence fait du placement de personnel (commerciaux, assistantes, bilingues, etc.), fournit des hôtesses pour les congrès, conférences, salons et soirées de gala, etc.
Titulaire d'un Bac + 2 littéraire et d'un BTS en tourisme, Kadia a le sens du contact. Un atout pour son nouveau travail pour la promotion duquel elle doit aller le plus souvent à la rencontre des clients. « Au Sénégal, c'est plus le relationnel qui permet de se faire un bon portefeuille de clients. La connaissance personnelle des décideurs est un atout, mais il faut rester professionnel jusqu'au bout des ongles pour réussir », explique la directrice de « Cerises ».
Avec six mois d'existence, son agence cherche encore ses marques. Il faut beaucoup de promotion pour se faire connaître. Mais cette jeune célibataire qui a déjà épinglé de gros clients au tableau de chasse de « Cerises » comme l'ambassade du Brésil, la chambre des notaires, la BCEAO, France Telecom / Orange, etc., sait que la réussite est au bout de l'effort.
Qu'à cela ne tienne, loin de baisser les bras, elle fait appel à son expérience d'ancienne Pub modèle, de mannequin, d'hôtesse et d'intérimaire au Sénégal et en France pour lancer l'agence d'intérim « Cérises » il y a six mois. « Pourquoi se contenter d'un salaire mensuel alors que l'on peu monter sa propre affaire », s'interroge-t-elle. L'agence fait du placement de personnel (commerciaux, assistantes, bilingues, etc.), fournit des hôtesses pour les congrès, conférences, salons et soirées de gala, etc.
Titulaire d'un Bac + 2 littéraire et d'un BTS en tourisme, Kadia a le sens du contact. Un atout pour son nouveau travail pour la promotion duquel elle doit aller le plus souvent à la rencontre des clients. « Au Sénégal, c'est plus le relationnel qui permet de se faire un bon portefeuille de clients. La connaissance personnelle des décideurs est un atout, mais il faut rester professionnel jusqu'au bout des ongles pour réussir », explique la directrice de « Cerises ».
Avec six mois d'existence, son agence cherche encore ses marques. Il faut beaucoup de promotion pour se faire connaître. Mais cette jeune célibataire qui a déjà épinglé de gros clients au tableau de chasse de « Cerises » comme l'ambassade du Brésil, la chambre des notaires, la BCEAO, France Telecom / Orange, etc., sait que la réussite est au bout de l'effort.