« Les quatre roues arrières d’un camions m’ont passé dessus »
Ça s’est passé dans son quartier. Un jour, alors qu’il partait à son lieu de travail, à l’atelier de menuiserie métallique de son père, il a aperçu un camion dans lequel on déchargeait des ustensiles de cuisine, devant la maison voisine. Lorsque le camion repartait, il a demandé au chauffeur de l’amener dans la voiture. Et c’est là qu’est survenu le drame ! Mamadou, voulant monter sur le camion, a trébuché sur le marchepied, et s’est retrouvé sous le véhicule. Il a été trainé sur une distance de cinq (05) mètres. « Ça a été atroce », témoigne le jeune homme. Avant d’ajouter « les quatre roues arrières du véhicule sont passées sur mon bassin et l’ont écrasé. J’avais les os cassés et tout mon bassin broyé par la puissance du gros porteur. Et j’ai eu de la chance que l’accident se soit passé sur une voie très sablonneuse. C’est ce qui a amorti un peu le choc. N’empêche que je me suis retrouvé avec une fracture multiple des os du bassin et une rupture post traumatique de l’urètre membraneux, avec un déplacement important vers le haut de l’apex prostatique.»
Plusieurs examens sans succès
« De 2001 à 2010, j’ai subi deux urétroplasties anastomotiques, trois urétérostomies endoscopiques, et une dernière urétroplastie selon QUARTEY (Lambeau Pénien Pédiculé) sans succès. Je vis depuis dix (10) années avec une sonde, parce que je n’arrive pas à uriner normalement, vu le rétrécissement urétral qui ne cesse de s’aggraver. Je n’ai presque plus de vie. Je souffre atrocement », a confié Mamadou.
« Parfois la sonde se bouche et mon urine est refoulé dans la vessie »
« Je suis lié à une sonde que je suis obligé de trainer avec moi tout le temps. Je la vide presque toutes les cinq minutes. Il arrive souvent que le tuyau de la sonde soit bouché par les caillots d’urine. Et quand cela arrive, je meurs de douleur car mon urine est refoulée dans la vessie », a déploré le malade.
17 millions, pour changer une vie
« Depuis maintenant 10 ans, je fais la navette entre Thiès et l’hôpital Aristide Le Dantec de Dakar, pour me soigner. J’ai fait plusieurs opérations, mais sans succès. Aujourd’hui, mon père dont je suis son seul soutien, a dépensé toutes ses économies pour me soigner.
Mon traitement à l’hôpital Ariste Le Dantec a même été arrêté. Mon médecin traitant m’a dit que le matériel qu’il faut pour réussir les opérations, n’existe qu’en France. L’intervention, l’hospitalisation, le billet d’avion et les frais de séjour sont estimé à 17 millions de Franc Cfa. J’ai déjà envoyé une demande d’intervention chirurgicale et de prise en charge au service urologie de l’hôpital Cochin de Paris, pour une autre intervention.
Si je fais cette opération, je serais guéri très vite. Je pourrais espérer retrouver une vie normale. Ma famille n’a pas de moyens. Raison pour laquelle, j’avais même lancé un appel à l’aide dans les radios et sur le web. J’ai pu collecter une certaine somme, grâce à un compte CBAO, sous le numéro 04213 – 34169183301/ 51, mais malheureusement ça n’a même pas atteint un (01) million.
Ou que vous soyez donc, au Sénégal ou à l’étranger, ce ‘‘cri’’ de cœur s’adresse à vous. Aidez-moi à rassembler la somme nécessaire pour aller me soigner en France », lance Mamadou a toutes bonnes volontés.
Téléphone : 77 622 37 79
compte CBAO: 04213 – 34169183301/ 51
Ça s’est passé dans son quartier. Un jour, alors qu’il partait à son lieu de travail, à l’atelier de menuiserie métallique de son père, il a aperçu un camion dans lequel on déchargeait des ustensiles de cuisine, devant la maison voisine. Lorsque le camion repartait, il a demandé au chauffeur de l’amener dans la voiture. Et c’est là qu’est survenu le drame ! Mamadou, voulant monter sur le camion, a trébuché sur le marchepied, et s’est retrouvé sous le véhicule. Il a été trainé sur une distance de cinq (05) mètres. « Ça a été atroce », témoigne le jeune homme. Avant d’ajouter « les quatre roues arrières du véhicule sont passées sur mon bassin et l’ont écrasé. J’avais les os cassés et tout mon bassin broyé par la puissance du gros porteur. Et j’ai eu de la chance que l’accident se soit passé sur une voie très sablonneuse. C’est ce qui a amorti un peu le choc. N’empêche que je me suis retrouvé avec une fracture multiple des os du bassin et une rupture post traumatique de l’urètre membraneux, avec un déplacement important vers le haut de l’apex prostatique.»
Plusieurs examens sans succès
« De 2001 à 2010, j’ai subi deux urétroplasties anastomotiques, trois urétérostomies endoscopiques, et une dernière urétroplastie selon QUARTEY (Lambeau Pénien Pédiculé) sans succès. Je vis depuis dix (10) années avec une sonde, parce que je n’arrive pas à uriner normalement, vu le rétrécissement urétral qui ne cesse de s’aggraver. Je n’ai presque plus de vie. Je souffre atrocement », a confié Mamadou.
« Parfois la sonde se bouche et mon urine est refoulé dans la vessie »
« Je suis lié à une sonde que je suis obligé de trainer avec moi tout le temps. Je la vide presque toutes les cinq minutes. Il arrive souvent que le tuyau de la sonde soit bouché par les caillots d’urine. Et quand cela arrive, je meurs de douleur car mon urine est refoulée dans la vessie », a déploré le malade.
17 millions, pour changer une vie
« Depuis maintenant 10 ans, je fais la navette entre Thiès et l’hôpital Aristide Le Dantec de Dakar, pour me soigner. J’ai fait plusieurs opérations, mais sans succès. Aujourd’hui, mon père dont je suis son seul soutien, a dépensé toutes ses économies pour me soigner.
Mon traitement à l’hôpital Ariste Le Dantec a même été arrêté. Mon médecin traitant m’a dit que le matériel qu’il faut pour réussir les opérations, n’existe qu’en France. L’intervention, l’hospitalisation, le billet d’avion et les frais de séjour sont estimé à 17 millions de Franc Cfa. J’ai déjà envoyé une demande d’intervention chirurgicale et de prise en charge au service urologie de l’hôpital Cochin de Paris, pour une autre intervention.
Si je fais cette opération, je serais guéri très vite. Je pourrais espérer retrouver une vie normale. Ma famille n’a pas de moyens. Raison pour laquelle, j’avais même lancé un appel à l’aide dans les radios et sur le web. J’ai pu collecter une certaine somme, grâce à un compte CBAO, sous le numéro 04213 – 34169183301/ 51, mais malheureusement ça n’a même pas atteint un (01) million.
Ou que vous soyez donc, au Sénégal ou à l’étranger, ce ‘‘cri’’ de cœur s’adresse à vous. Aidez-moi à rassembler la somme nécessaire pour aller me soigner en France », lance Mamadou a toutes bonnes volontés.
Téléphone : 77 622 37 79
compte CBAO: 04213 – 34169183301/ 51
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