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Deux filles de 11 et 12 ans surprises au lit avec leurs copains

Elles sont à peine sorties de la puberté qu’elles se mettent à fricoter avec des garçons de deux fois plus âgés qu’elles. Pire, dans cette relation délictuelle, elles déroulent les plans pour se soustraire à la surveillance de leurs parents et se retrouver tard dans la soirée dans les bras de leurs « amoureux ».


Rédigé par leral.net le Samedi 3 Décembre 2011 à 07:46 | | 0 commentaire(s)|

Deux filles de 11 et  12 ans surprises au lit avec leurs copains
Salif Soumah 20 ans et Amara Sylla, 23 ans, ont été surpris par le père des filles. Ces jeunes ressortissants Guinéens ont comparus hier à la barre des flagrants délits pour viol collectif sur mineures, car devant la loi le consentement d’une mineure est inopérant.
Le père de M.C réveillé en pleine nuit, constate que ses « enfants » n’étaient plus dans leur chambre, alors qu’elles étaient déjà allées au lit. Cherchant dans le voisinage, il entend la voix de sa fille dans la chambre des garçons. C’est ainsi qu’il appelle le père de A.G et de N.C, ainsi que le chef de quartier pour qu’ils soient témoins de ce spectacle invraisemblable, à 3h du matin.
Cependant, personnes n’a pu entrer dans la chambre, mais les « gamines » ont pris leur courage à deux mains pour dérouler, devant le juge, le film de cette fréquentation en catimini.
Assumant leurs actes, elles confient qu’elles filaient le parfait amour avec les prévenus depuis la veille de la fête de Korité. Avant de s’empresser de dire que rien ne s’est passé durant la nuit.
Pour ce jour, elles sont sorties à 23 heures pour rejoindre les garçons, cette fois-ci, accompagné de leur petite sœur de 10 ans.
De leur côté, les garçons ont niés toutes relations sexuelles avec les filles depuis le début de leur aventure, arguant qu’ils ne faisaient que discuter. Une confession à laquelle le procureur ne peut croire d’autant qu’il est constant que les couples étaient au lit. S’y ajoutent des certificats médicaux qui font état d’un « hymen beat » pour les deux fillettes. Ce constat n’a pas empêché au conseil des plaignants de rester dubitatif sur le délit de viol. Délibéré lundi prochain.