Le ministre de l'intérieur Abdoulaye Daouda Diallo
"Ce qui s'est passé est une méprise de leur part. Peut-être que dans leur compréhension , les leaders de l'opposition étaient tout simplement convoqués par le ministre de l'intérieur. Mais nous osons espérer que l'opposition acceptera de revenir autour d'un cadre de concertation", a déclaré le chargé des élections de l'APR, Benoit Sambou à l'issue d'une entrevue avec le ministre de l'intérieur.
Après la rencontre avortée d'avant-hier entre le ministre de l'intérieur et les partis de l'opposition regroupés dans "Manko wattu Sénégal", la majorité présidentielle est montée au créneau pour appeler Mamadou Lamine Diallo et ses camarades à revenir à la table des négociations. L'opposition et la majorité s'entendent en effet sur plusieurs points concernant le processus électoral.
Seulement, elle n'émettent pas sur la même longueur d'onde en ce qui concerne l'augmentation du nombre de députés suite à l'adoption à l'issue du référendum de mars 2016 d'un quota de 10 députés alloués à la diaspora sénégalaise à l'Assemblée Nationale. "Le seul point qui reste encore à être vidé, c'est le nombre de députés alloués à la diaspora".
Le désaccord se situe sur la question de savoir s'il faut augmenter le nombre de députés de 150 à 160 ou s'il faut prélever 10 députés sur le nombre déjà existant.
Revenant sur la marche de protestation de l'opposition tenue à Paris, la mouvance présidentielle a fustigé la démarche de l'opposition en France, qui selon elle vise à ternir l'image du pays à l'étranger.
Source enquête
Après la rencontre avortée d'avant-hier entre le ministre de l'intérieur et les partis de l'opposition regroupés dans "Manko wattu Sénégal", la majorité présidentielle est montée au créneau pour appeler Mamadou Lamine Diallo et ses camarades à revenir à la table des négociations. L'opposition et la majorité s'entendent en effet sur plusieurs points concernant le processus électoral.
Seulement, elle n'émettent pas sur la même longueur d'onde en ce qui concerne l'augmentation du nombre de députés suite à l'adoption à l'issue du référendum de mars 2016 d'un quota de 10 députés alloués à la diaspora sénégalaise à l'Assemblée Nationale. "Le seul point qui reste encore à être vidé, c'est le nombre de députés alloués à la diaspora".
Le désaccord se situe sur la question de savoir s'il faut augmenter le nombre de députés de 150 à 160 ou s'il faut prélever 10 députés sur le nombre déjà existant.
Revenant sur la marche de protestation de l'opposition tenue à Paris, la mouvance présidentielle a fustigé la démarche de l'opposition en France, qui selon elle vise à ternir l'image du pays à l'étranger.
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