« Nous avons, dès le départ, voulu contrôler le processus. Autrement dit, qu’est-ce que nous devons faire, à nous quatre. Mais, il faut s’ouvrir et vers qui, puisque nous avons tous un passé et on ne peut pas s’ouvrir vers tous les acteurs… », a-t-il fait remarquer.
Il a aussi ajouté, « vous ne pouvez pas construire une coalition à 100 partis, c’est impossible et la preuve est là. Les gens ont discuté de coalition jusqu’à une minute de la clôture des dépôts de listes de candidature. Ensuite, il y a une sorte de mafia, de gangstérisme qui s’est mêlée à la situation, où des gens ont eu des responsabilités dans des groupements politiques. On vous confie des dossiers, vous disparaissez avec. Nous sommes à un niveau où la situation actuelle est désastreuse».
Sud
Il a aussi ajouté, « vous ne pouvez pas construire une coalition à 100 partis, c’est impossible et la preuve est là. Les gens ont discuté de coalition jusqu’à une minute de la clôture des dépôts de listes de candidature. Ensuite, il y a une sorte de mafia, de gangstérisme qui s’est mêlée à la situation, où des gens ont eu des responsabilités dans des groupements politiques. On vous confie des dossiers, vous disparaissez avec. Nous sommes à un niveau où la situation actuelle est désastreuse».
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