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"Dpg du Premier ministre, meeting de l'opposition", les vérités du Mouvement vision républicaine

En sacrifiant au rituel du "Grand oral", le Premier Ministre a fait un diagnostic des problèmes qui plombent notre décollage économique, selon le coordonnateur du Mouvement vision républicaine.


Rédigé par leral.net le Mercredi 19 Novembre 2014 à 15:52 | | 4 commentaire(s)|

"Dpg du Premier ministre, meeting de l'opposition", les vérités du Mouvement vision républicaine
Dans un communiqué de presse, Oumar Badiane estime que Mahammed Boun Abdallah Dionne comprend "parfaitement la vision et les ambitions du président de la République". "Il s’est employé à déclarer d’abord les réalisations effectuées en deux ans et demi par le régime en place avant de dégager les perspectives de croissance durable. Dans le ciblage des secteurs de développement et de croissance durable, des chiffres et des échéances ont été fixés et cela nous édifie sur les objectifs à atteindre pour un Sénégal harmonieux", rapporte-t-il.

Fort de ce constat, le coordonnateur du Mouvement Vision Républicaine "appelle toutes les forces vives de la nation et la jeunesse surtout, à adhérer à cette vision qui augure des lendemains rassurants et qui est loin d’être du toc, car c’est un plan de développement chiffré avec des échéances précises et à haute intensité de main d’œuvre (…), à accorder à ce Plan Sénégal émergent, le temps de sa mise en œuvre car les jalons sont déjà posés pour mener le navire à bon port".

Par ailleurs, se prononçant sur le meeting du meeting de l’opposition du 21 novembre prochain, Oumar Badiane estime qu’"il vaut mieux être prévenant quant on a affaire à quelqu’un comme Abdoulaye Wade". Car, s'interroge-t-il, "pourquoi avoir attendu l’approche de la tenue du sommet pour organiser une marche, cela dit, toute proportion gardée et vraiment sans prétention aucune de vouloir être brute au décoffrage. Oumar Badiane fait allusion aux malheureux et tragiques événements du 16 février 1994.

"Ce fut cette fameuse marche du PDS sous la houlette d’Abdoulaye Wade qui avait mis la capitale à feu et à sang. L’effroyabilité de ces événements tragiques demeure encore vivace dans les esprits avec son cortège de victimes. Le Sénégal se le rappelle et le regrette toujours alors amèrement. Mais, l'autre n’avait-il pas raison de dire : « On a beau chasser le naturel, il revient toujours au galop", se rappelle-t- il avant d’indiquer que le Président devrait prendre toutes les dispositions légales que lui confère la loi pour prévoir toute éventualité parce que le Sénégal doit recevoir 70 chefs d’Etat et de gouvernements à l’occasion du sommet de la Francophonie et là, l’enjeu sécuritaire est précaire.