Certaines femmes n’ont pas la retenue d’encaisser une mauvaise nouvelle et de rester sereine. Nombreuses sont celles qui pètent les plombs. Si d’aucuns y vont avec des insultes, d’autres craquent et décident de se venger. Bonjour les dégâts physiques dont des ébouillantements, des effets psychologiques avec menace de suicide ou de divorce.
La cinquantaine, ce polygame habillé à l’occidental, se souvient du jour où, après plusieurs années passées en compagnie de sa niarel, il prit son courage à deux main pour annoncer à sa première qu’elle avait une coépouse. « Après la célébration du mariage, j’ai téléphoné à ma mère pour lui demander qu’on ne dise rien à ma Aawo. Un jour, à la descente, elle a pris le soin comme d’habitude de me préparer un bon dîner, accompagner d’un succulent jus naturel. C’est après que je lui ai annoncé avec beaucoup d’hésitation. »
Connaissant le caractère de sa femme, il a redouté qu’elle ne commette l’irréparable. Dans un premier temps, elle a pensé que j’étais en train de lui faire des blagues. Mais, elle s’est vite reprise, car je ne suis pas du genre à lui faire ce genre de plaisanteries. De manière spontanée, elle m’a abreuvé d’injure. » « C’était vraiment affreux », évoque le gestionnaire d’une société de la place.
La cinquantaine, ce polygame habillé à l’occidental, se souvient du jour où, après plusieurs années passées en compagnie de sa niarel, il prit son courage à deux main pour annoncer à sa première qu’elle avait une coépouse. « Après la célébration du mariage, j’ai téléphoné à ma mère pour lui demander qu’on ne dise rien à ma Aawo. Un jour, à la descente, elle a pris le soin comme d’habitude de me préparer un bon dîner, accompagner d’un succulent jus naturel. C’est après que je lui ai annoncé avec beaucoup d’hésitation. »
Connaissant le caractère de sa femme, il a redouté qu’elle ne commette l’irréparable. Dans un premier temps, elle a pensé que j’étais en train de lui faire des blagues. Mais, elle s’est vite reprise, car je ne suis pas du genre à lui faire ce genre de plaisanteries. De manière spontanée, elle m’a abreuvé d’injure. » « C’était vraiment affreux », évoque le gestionnaire d’une société de la place.