Auteur de son premier but avec Arsenal en Premier League, Olivier Giroud est arrivé soulagé au rassemblement de l’équipe de France à Clairefontaine. Confronté au premier grand test de sa carrière, l’attaquant tricolore a été la cible de critiques alors qu’il peinait à trouver le chemin des filets. Des attaques qui ne l’ont cependant jamais fait douter. « C’est important de marquer. C’est toujours important pour la confiance d’un attaquant. Van Persie est parti, on attend beaucoup de moi. Je suis sûr de mes qualités. C’était un problème de réussite, tu as l’impression que les cages sont plus petites. J’ai toujours marqué des buts donc je ne me suis pas inquiété. Arsène Wenger me parle de temps en temps. Je pense vraiment avoir fait un bon choix », a-t-il déclaré au micro de RMC.
Libéré, Giroud a ensuite évoqué son association avec l’attaquant nº 1 des Bleus, Karim Benzema. Un duo rarement aligné sous l’ère Laurent Blanc et qui mériterait de l’être plus souvent à en croire l’ancien Montpelliérain. « Ça s’est vérifié plus d’une fois à l’entraînement. C’est très facile de jouer avec lui. C’est un grand attaquant. Il suffit simplement d’essayer. On n’a été aligné qu’une mi-temps et demie ensemble. Ce n’est pas comme ça qu’on peut tirer de grands enseignements. Le coach y songe. Il essaye. On verra bien. » S’il désire « s’inscrire dans la durée » avec la sélection nationale, Giroud sait toutefois qu’il devra répondre présent lors des prochaines échéances. Car en France, un certain André-Pierre Gignac pousse gentiment au portillon après un excellent début de saison ponctué par 5 buts en 8 matches. Et ça, Giroud en est conscient. « Oui, Gignac est un concurrent », a-t-il indiqué.
Enfin, le nouvel attaquant des Gunners a également eu une pensée pour Montpellier. Alors qu’il a connu les joies du titre avec le MHSC, Giroud a déclaré qu’il savait son ancien club attendu. « Il y a le contrecoup du titre. L’équipe est plus attendue. Je ne pensais pas cependant que ça allait être aussi difficile en début de saison. Il faut peut-être se dire quelques vérités. Il faut qu’ils se fassent un peu violence en championnat. » À bon entendeur.
Matthieu Margueritte
Libéré, Giroud a ensuite évoqué son association avec l’attaquant nº 1 des Bleus, Karim Benzema. Un duo rarement aligné sous l’ère Laurent Blanc et qui mériterait de l’être plus souvent à en croire l’ancien Montpelliérain. « Ça s’est vérifié plus d’une fois à l’entraînement. C’est très facile de jouer avec lui. C’est un grand attaquant. Il suffit simplement d’essayer. On n’a été aligné qu’une mi-temps et demie ensemble. Ce n’est pas comme ça qu’on peut tirer de grands enseignements. Le coach y songe. Il essaye. On verra bien. » S’il désire « s’inscrire dans la durée » avec la sélection nationale, Giroud sait toutefois qu’il devra répondre présent lors des prochaines échéances. Car en France, un certain André-Pierre Gignac pousse gentiment au portillon après un excellent début de saison ponctué par 5 buts en 8 matches. Et ça, Giroud en est conscient. « Oui, Gignac est un concurrent », a-t-il indiqué.
Enfin, le nouvel attaquant des Gunners a également eu une pensée pour Montpellier. Alors qu’il a connu les joies du titre avec le MHSC, Giroud a déclaré qu’il savait son ancien club attendu. « Il y a le contrecoup du titre. L’équipe est plus attendue. Je ne pensais pas cependant que ça allait être aussi difficile en début de saison. Il faut peut-être se dire quelques vérités. Il faut qu’ils se fassent un peu violence en championnat. » À bon entendeur.
Matthieu Margueritte
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