Des lois votées et promulguées au Sénégal sont tombées en désuétude mais, celle portant interdiction de la production, de l’importation, de la détention, de la distribution et de l’utilisation des sachets plastiques de faible micronnage et gestion rationnelle des déchets plastiques, adoptée par l’Assemblée nationale, il y a quelques jours, a de fortes chances de ne pas connaître ce sort. Le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Abdoulaye Bibi Baldé, a pris la ferme décision de rendre effective son application.
Des experts de l’environnement évaluent le stock de déchets plastiques éparpillés dans la nature au Sénégal à environ 70 mille tonnes. Et la région de Dakar croule, à elle seule, sous le poids de cinq tonnes de déchets plastiques par jour. Pour faire face à ce péril écologique, Abdoulaye Baldé estime qu’« il faut trouver des solutions urgentes qui passent nécessairement par une démarche participative impliquant et responsabilisant chaque acteur : acteurs, collectivités locales, producteurs, consommateurs, recycleurs, ménages, techniciens de surface etc.
D’après le ministre de l’Environnement, les modes de production et de consommation non durables de nos sociétés actuelles ont comme conséquence directe la production d’importantes quantités de déchets industriels et d’ordures ménagères. « Aujourd’hui, dans la quasi-totalité de nos villes et villages, les dépôts sauvages d’ordures se multiplient et détériorent l’environnement, annihilant ainsi les efforts consentis par l’Etat et les collectivités locales à travers la mise en œuvre de ce programme de gestion des ordures et la lutte contre l’insalubrité », constate, M. Baldé.
Des experts de l’environnement évaluent le stock de déchets plastiques éparpillés dans la nature au Sénégal à environ 70 mille tonnes. Et la région de Dakar croule, à elle seule, sous le poids de cinq tonnes de déchets plastiques par jour. Pour faire face à ce péril écologique, Abdoulaye Baldé estime qu’« il faut trouver des solutions urgentes qui passent nécessairement par une démarche participative impliquant et responsabilisant chaque acteur : acteurs, collectivités locales, producteurs, consommateurs, recycleurs, ménages, techniciens de surface etc.
D’après le ministre de l’Environnement, les modes de production et de consommation non durables de nos sociétés actuelles ont comme conséquence directe la production d’importantes quantités de déchets industriels et d’ordures ménagères. « Aujourd’hui, dans la quasi-totalité de nos villes et villages, les dépôts sauvages d’ordures se multiplient et détériorent l’environnement, annihilant ainsi les efforts consentis par l’Etat et les collectivités locales à travers la mise en œuvre de ce programme de gestion des ordures et la lutte contre l’insalubrité », constate, M. Baldé.