Après que sa femme a donné sa version des faits, avant-hier, dans le procès pour escroquerie au mariage qui les oppose, O. Ng. Guèye a reçu une véritable douche froide. Dans sa citation, il accusait sa femme, qu’il a épousée en octobre 2010, d’avoir refusé de consommer le mariage. Seulement, à la barre, la partie civile a révélé avoir entretenu des rapports sexuels, à trois reprises, avec son épouse. Il a ensuite soutenu, selon EnQuête, avoir offert comme dot la somme d’un million, en plus d’autres cadeaux. Après cette révélation, le « tribunal populaire », présent dans la salle, a vite fait de jeter l’anathème sur l’épouse. Le sieur s'est laissé aller dans un déballage en alléguant que la dame n’était pas vierge au moment de consommer son mariage et qu’il a tout fait pour sauver son honneur. Aussi dirait-il : « J’ai acheté un mouton à Seras et le sang a été versé sur le drap pour faire croire qu’elle était vierge ».
Accusée de tous les péchés d’Israël, A Diakhaté, loin de se laisser démonter par ses révélations a pris son temps pour apporter sa version. La dame, dont les accusations du mari avaient fini de chauffer la salle, a douché l'ambiance, d'après nos confrères, en révélant qu'elle n'a pas refusé de se donner à son mari mais que celui-ci est impuissant. Des propos qui ont créé la surprise générale et accentué la colère de Me Jacques Ndiaye, avocat de la partie civile. Face à ces aveux, l’avocat, visiblement en colère, s’est abstenu de plaider. Il a même renoncé à formuler le paiement de dommages et intérêts qu’il estimait à 10 millions de nos francs. Me Abdou Dialy Ndiaye n’a pas, quant à lui, hésité à dire à Me Ndiaye que son client lui avait menti. Il a tout bonnement plaidé la relaxe pure et simple. Délibéré prévu le 15 octobre prochain.
Accusée de tous les péchés d’Israël, A Diakhaté, loin de se laisser démonter par ses révélations a pris son temps pour apporter sa version. La dame, dont les accusations du mari avaient fini de chauffer la salle, a douché l'ambiance, d'après nos confrères, en révélant qu'elle n'a pas refusé de se donner à son mari mais que celui-ci est impuissant. Des propos qui ont créé la surprise générale et accentué la colère de Me Jacques Ndiaye, avocat de la partie civile. Face à ces aveux, l’avocat, visiblement en colère, s’est abstenu de plaider. Il a même renoncé à formuler le paiement de dommages et intérêts qu’il estimait à 10 millions de nos francs. Me Abdou Dialy Ndiaye n’a pas, quant à lui, hésité à dire à Me Ndiaye que son client lui avait menti. Il a tout bonnement plaidé la relaxe pure et simple. Délibéré prévu le 15 octobre prochain.