Qui disait que l’instinct de «tueur» est mort dans le cœur des «Y’en a marristes» sénégalais, depuis leur «allégeance à Macky Sall» ? Grosse erreur, car Fadel Barro et ses amis rappeurs, même s’ils sont chouchoutés et cajolés par les nouvelles autorités, au point même d’avoir le privilège d’une visite et des éloges du ministre français des Affaires étrangères et de mots tendres de la Secrétaire d’Etat américaine, entendent rester «à l’écoute des souffrances des populations».
La preuve : voici le premier coup de gueule du mouvement «Y’en a marre», depuis l’accession du président Macky Sall à la magistrature suprême. Face aux délestages devenus récurrents, plus d’ailleurs que du temps de Samuel Sarr, Fadel Barro, le nouveau gendre de Claude Leroy, lance sur sa page « Facebook« : «Les coupures d’électricité demeurent énervantes, écœurantes, inacceptables ! Le pire, c’est quand ceux qui doivent les résoudre tâtonnent dans leur communication… Dommage qu’on en est encore».
Simple boutade, dégoût ou démagogie ? Nous pencherons pour le second mot, qui sied davantage à l’idée rebelle de ce jeune homme, pour qui le seul combat qui vaille semble être celui du bien-être des populations sénégalaises. Les nouveaux dignitaires du régime sont donc avertis : rétablissez vite le courant et assurez-en la continuité, pour éviter de voir les cailloux de Fadel choir dans vos jardins et, peut-être, plus tard dans vos salons Louis XIV.
Lesenegalais.net
La preuve : voici le premier coup de gueule du mouvement «Y’en a marre», depuis l’accession du président Macky Sall à la magistrature suprême. Face aux délestages devenus récurrents, plus d’ailleurs que du temps de Samuel Sarr, Fadel Barro, le nouveau gendre de Claude Leroy, lance sur sa page « Facebook« : «Les coupures d’électricité demeurent énervantes, écœurantes, inacceptables ! Le pire, c’est quand ceux qui doivent les résoudre tâtonnent dans leur communication… Dommage qu’on en est encore».
Simple boutade, dégoût ou démagogie ? Nous pencherons pour le second mot, qui sied davantage à l’idée rebelle de ce jeune homme, pour qui le seul combat qui vaille semble être celui du bien-être des populations sénégalaises. Les nouveaux dignitaires du régime sont donc avertis : rétablissez vite le courant et assurez-en la continuité, pour éviter de voir les cailloux de Fadel choir dans vos jardins et, peut-être, plus tard dans vos salons Louis XIV.
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