Selon Jallow, le lieutenant-colonel Solo Bojang, chef présumé de l’opération, a déclaré à ses hommes que « l’ordre de… Jammeh est qu’ils doivent tous être exécutés ».
Plusieurs victimes ont été exécutées en Casamance au Sénégal, à proximité de Kanilai, le village natal de Jammeh en Gambie.
Leur corps ont ensuite été jetés dans un puits. Des témoins, y compris d’anciens ministres, ont décrit une vaste opération de dissimulation du massacre pour empêcher les enquêteurs internationaux de découvrir la vérité. Les témoignages ont corroboré un rapport publié en mai 2018 par Human Rights Watch et TRIAL International.
Quatre anciens hauts fonctionnaires – Sanna Sabally, premier vice-président de la junte militaire de Jammeh de 1994 à 1996 ; Edward Singhateh, ancien vice-président de la junte et ministre de la Défense ; Demba Njie, ancien chef d’état-major de l’armée ; et Alagie Martin, l’ancien commandant du bataillon des gardes d’État – ont déclaré que Jammeh avait ordonné l’exécution des responsables présumés d’une tentative de coup d’État en novembre 1994.
Plusieurs victimes ont été exécutées en Casamance au Sénégal, à proximité de Kanilai, le village natal de Jammeh en Gambie.
Leur corps ont ensuite été jetés dans un puits. Des témoins, y compris d’anciens ministres, ont décrit une vaste opération de dissimulation du massacre pour empêcher les enquêteurs internationaux de découvrir la vérité. Les témoignages ont corroboré un rapport publié en mai 2018 par Human Rights Watch et TRIAL International.
Quatre anciens hauts fonctionnaires – Sanna Sabally, premier vice-président de la junte militaire de Jammeh de 1994 à 1996 ; Edward Singhateh, ancien vice-président de la junte et ministre de la Défense ; Demba Njie, ancien chef d’état-major de l’armée ; et Alagie Martin, l’ancien commandant du bataillon des gardes d’État – ont déclaré que Jammeh avait ordonné l’exécution des responsables présumés d’une tentative de coup d’État en novembre 1994.