Selon "Les Échos", qui donne la nouvelle dans son édition de ce samedi, la plainte vise également les médias ayant repris les parties incriminées du rapport en question.
Le journal signale que le patron de Wari indique dans sa plainte que si l’immunité des membres de l’OFNAC faisait obstacle à leur éventuelle inculpation, «les personnes et les structures ayant repris et véhiculé ces fausses informations devraient, elles, être poursuivies».
Kabirou Mbodje estime que l’OFNAC a porté contre lui des «accusations mensongères, sans fondement, sans preuve, mélangeant des sujets n’ayant rien à voir les uns avec les autres».
Il rappelle dans les colonnes de "Les Échos" l’extrait incriminé : «Les investigations menés (sic) ont permis de révéler que Monsieur Kabirou Mbodje, en violation des dispositions de l’OHADA, se serait accaparé de la société Wari au détriment de ses co-actionnaires… (se serait permis) de transférer le siège de la société au Togo en créant d’autres filiales, aurait refusé de transmettre aux associés des documents sociaux».
En rappelant que l’affaire évoquée est pendante, le Directeur général de Wari rappelle que les prérogatives de l’OFNAC se limitent aux «sociétés publiques ou privées ayant une relation avec une société publique», alors que l’entreprise qu’il dirige ne rentre pas dans ce cadre
Le journal signale que le patron de Wari indique dans sa plainte que si l’immunité des membres de l’OFNAC faisait obstacle à leur éventuelle inculpation, «les personnes et les structures ayant repris et véhiculé ces fausses informations devraient, elles, être poursuivies».
Kabirou Mbodje estime que l’OFNAC a porté contre lui des «accusations mensongères, sans fondement, sans preuve, mélangeant des sujets n’ayant rien à voir les uns avec les autres».
Il rappelle dans les colonnes de "Les Échos" l’extrait incriminé : «Les investigations menés (sic) ont permis de révéler que Monsieur Kabirou Mbodje, en violation des dispositions de l’OHADA, se serait accaparé de la société Wari au détriment de ses co-actionnaires… (se serait permis) de transférer le siège de la société au Togo en créant d’autres filiales, aurait refusé de transmettre aux associés des documents sociaux».
En rappelant que l’affaire évoquée est pendante, le Directeur général de Wari rappelle que les prérogatives de l’OFNAC se limitent aux «sociétés publiques ou privées ayant une relation avec une société publique», alors que l’entreprise qu’il dirige ne rentre pas dans ce cadre