Le mot d’ordre de grève de 48 heures décrété par le Sames, a été largement suivi hier au niveau de l’hôpital régional de Saint-Louis. La structure hospitalière a été totalement paralysée. Un calme plat règne sur les lieux.
«Les collègues ont massivement respecté le mot d’ordre. Seules les urgences et le service minimum sont présentement assurés, sinon le reste ne fonctionne pas. Les consultations qui peuvent être reprogrammées ont été renvoyées ainsi que les programmes de chirurgie et les actes médicaux tels que la délivrance des certificats médicaux », jubile Sidy Fall, secrétaire général du Sames de l’hôpital régional de Saint-Louis.
L’occasion faisant le larron, le syndicaliste en profite pour signaler l’état préoccupant dans lequel se trouve l’établissement de santé. C’est pourquoi il propose de relever le plateau technique.
«Nous souhaitons le relèvement du plateau technique et le déploiement d’un personnel qualifié dans toutes les structures de santé. Il faut améliorer les conditions de travail du personnel. Le problème du plateau technique se pose avec acuité. Il est plus que nécessaire que toutes les structures de santé soient dotées de plateaux techniques adéquats et que les ressources humaines soient déployées en quantité et en qualité », affirme M. Fall.
Les patients ont fortement ressenti les effets de ce premier jour de cette grève, puisque la plupart d’entre eux n’ont pas pu se soigner. N’empêche, les médecins qui ont décrété un mot d’ordre de quarante-huit (48) heures, entendent durcir le ton dans les prochains jours.
L’As
«Les collègues ont massivement respecté le mot d’ordre. Seules les urgences et le service minimum sont présentement assurés, sinon le reste ne fonctionne pas. Les consultations qui peuvent être reprogrammées ont été renvoyées ainsi que les programmes de chirurgie et les actes médicaux tels que la délivrance des certificats médicaux », jubile Sidy Fall, secrétaire général du Sames de l’hôpital régional de Saint-Louis.
L’occasion faisant le larron, le syndicaliste en profite pour signaler l’état préoccupant dans lequel se trouve l’établissement de santé. C’est pourquoi il propose de relever le plateau technique.
«Nous souhaitons le relèvement du plateau technique et le déploiement d’un personnel qualifié dans toutes les structures de santé. Il faut améliorer les conditions de travail du personnel. Le problème du plateau technique se pose avec acuité. Il est plus que nécessaire que toutes les structures de santé soient dotées de plateaux techniques adéquats et que les ressources humaines soient déployées en quantité et en qualité », affirme M. Fall.
Les patients ont fortement ressenti les effets de ce premier jour de cette grève, puisque la plupart d’entre eux n’ont pas pu se soigner. N’empêche, les médecins qui ont décrété un mot d’ordre de quarante-huit (48) heures, entendent durcir le ton dans les prochains jours.
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