impopulaire, injuste et hors norme menace notre secteur de disparition et dirige le pays vers une crise socio-économique sans précédent. Si c’est un impôt, le procédé de prélèvement est anormal et lui vide toute sa substance. Et c’est plus qu’une arnaque, car il n’existe nulle part dans le monde un tel mode d’imposition», claque Mouhamed Seck.
Les commerçants et industriels du Sénégal ont tenu un point de presse, pour manifester leur ras-le-bol. Selon le secrétaire général de l’Acis, section Hlm, cette mesure est contraire aux accords de Bali, en Indonésie, du 07 décembre 2013 : «Cet impôt va retarder considérablement les délais d’enlèvement des containers, ce qui va engendrer des conséquences négatives sur le doing business au Sénégal», dit-il.
«Certes, tout le monde doit payer l’impôt, et on est partant, mais qu’on le fasse dans les règles de l’art. Le seul fait qui justifie cet acharnement est la surcharge de l’État du Sénégal, qui doit revoir à la baisse son train de vie», cognent les commerçants.
Si la situation ne change pas, l’Acis compte paralyser le secteur après les évènements du Magal de Touba et du Gamou de Tivaouane : «Nous lançons un appel solennel aux autorités compétentes pour l’ouverture des négociations sur ces différentes questions, afin de trouver une issue heureuse», tonne M. Seck… Sinon… !
Tribune
Les commerçants et industriels du Sénégal ont tenu un point de presse, pour manifester leur ras-le-bol. Selon le secrétaire général de l’Acis, section Hlm, cette mesure est contraire aux accords de Bali, en Indonésie, du 07 décembre 2013 : «Cet impôt va retarder considérablement les délais d’enlèvement des containers, ce qui va engendrer des conséquences négatives sur le doing business au Sénégal», dit-il.
«Certes, tout le monde doit payer l’impôt, et on est partant, mais qu’on le fasse dans les règles de l’art. Le seul fait qui justifie cet acharnement est la surcharge de l’État du Sénégal, qui doit revoir à la baisse son train de vie», cognent les commerçants.
Si la situation ne change pas, l’Acis compte paralyser le secteur après les évènements du Magal de Touba et du Gamou de Tivaouane : «Nous lançons un appel solennel aux autorités compétentes pour l’ouverture des négociations sur ces différentes questions, afin de trouver une issue heureuse», tonne M. Seck… Sinon… !
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