Le coran exige qu’une information soit mise à nu car s’il y a des informateurs, il y a aussi des menteurs. Ces menteurs qui cherchent toujours à diviser pour mieux régner. « O vous qui croyez, si un crapule vous apporte une in formation, assurez- vous, sinon vous risquez de toucher injustement des gens par ignorance et de le regretter par la suite » nous dit le coran.
Roger Garaudy a raison de dire que « L’Occident est un accident », mais Yérim Séck est en train de devenir un accident dans la presse. Nous dévaluons votre « Cheikh » car vous ne le méritez pas. Un « Cheikh » doit tourner sa plume mille fois avant d’écrire des bêtises. L’attribution d’une information à une source ne se fait pas sans une triple vérification. C’est ma première leçon en journalisme au Cesti. La rédaction de l’information requiert autant de rigueur que son discernement.
Dakaractu est devenu un amplificateur de rumeurs. Et la rumeur, enseigne mon professeur d’éthique et de déontologie au Cesti, « n’est publiable que si elle émane d’une source crédible, si elle est significative et utile pour comprendre un événement ». Or l’évènement que tu tente d’expliquer t’échappe à mille reprises. Tu es loin d’être dans les secrets de Dieu. Comme de la nourriture, ton information est contaminée. Elle empoisonne l’esprit, pollue le cerveau…intoxique à la limite. Elle tente d’instiller dans l’inconscient des idées qui ne sont pas fondées, dénaturées et dépourvues de toute logique. L’heure est venue Yérim Seck que tu élabores « une écologie de l’information » en toi. Afin de décrasser l’information de la « marée noire » des mensonges. Dakaractu ne connait malheureusement pas la sérénité des laboratoires.
L’enfer de dakaractu peut être pavé de bonnes intentions mais dommage !!! Une soi-disant honnêteté, sans la compétence et sans la méthode, peut conduire à de graves fautes professionnelles. « Si le journaliste ne connait pas à fond le sujet dont il traite, dans ses éléments permanents mais aussi bien s’il n’a pas une solide pratique des hommes et des choses, il sera incapable d’apprécier l’événement et même de le voir effectivement, et alors il retombera fatalement dans les ornières de ses idées préconçues », disait Bernard Voyenne. C’est ton aujourd’hui Yérim.
Revois tes cours de journalismes si tu en disposes! Tu te crois journaliste d’investigation oui pour les profanes mais pas pour les professionnels. Tu bafoues toutes les règles d’éthique et de déontologie. Les journalistes qui ont révélé l’affaire « Watergate » sont des investigateurs. Tu n’es pas une référence en matière d’investigation. La profession n’a pas besoin de peste et d’intrus.
Ne faudrait-il pas, pour l’émergence d’un Dakaractu meilleur, repenser sa communication sur la base d’une démarche équilibrée entre le professionnalisme et l’éthique ? William Randolph Heart avait l’habitude de dire à ses journalistes : « N’acceptez jamais que la vérité vous prive d’une bonne histoire ». Tu es tombé dans ce piège. Désolé pour notre métier.
Il faut décontaminer absolument Dakaractu c’est qu’on attend de toi. Les internautes ont besoin aujourd’hui d’une information « bio ». Pour s’imposer dans la profession, il ne s’agit pas de devenir un artiste. Il suffit simplement d’être un bon artisan...avoir un esprit créatif, être curieux dans le bon sens mais des qualités que l’on n’acquiert jamais sur les bancs d’une école de journalisme. Une leçon de notre Directeur. Sois responsable alors et agis en connaissance de cause en tant personne morale de Dakaractu.
Mame Cheikh Ahmed Tidiane Sy l’a bien dit: « Il est dix fois plus facile d’être un dispensateur d’injures que d’être un journaliste de vocation ». Le journaliste, ajoute t-il, « est un prophète ».
Par Mamadou Niang
Roger Garaudy a raison de dire que « L’Occident est un accident », mais Yérim Séck est en train de devenir un accident dans la presse. Nous dévaluons votre « Cheikh » car vous ne le méritez pas. Un « Cheikh » doit tourner sa plume mille fois avant d’écrire des bêtises. L’attribution d’une information à une source ne se fait pas sans une triple vérification. C’est ma première leçon en journalisme au Cesti. La rédaction de l’information requiert autant de rigueur que son discernement.
Dakaractu est devenu un amplificateur de rumeurs. Et la rumeur, enseigne mon professeur d’éthique et de déontologie au Cesti, « n’est publiable que si elle émane d’une source crédible, si elle est significative et utile pour comprendre un événement ». Or l’évènement que tu tente d’expliquer t’échappe à mille reprises. Tu es loin d’être dans les secrets de Dieu. Comme de la nourriture, ton information est contaminée. Elle empoisonne l’esprit, pollue le cerveau…intoxique à la limite. Elle tente d’instiller dans l’inconscient des idées qui ne sont pas fondées, dénaturées et dépourvues de toute logique. L’heure est venue Yérim Seck que tu élabores « une écologie de l’information » en toi. Afin de décrasser l’information de la « marée noire » des mensonges. Dakaractu ne connait malheureusement pas la sérénité des laboratoires.
L’enfer de dakaractu peut être pavé de bonnes intentions mais dommage !!! Une soi-disant honnêteté, sans la compétence et sans la méthode, peut conduire à de graves fautes professionnelles. « Si le journaliste ne connait pas à fond le sujet dont il traite, dans ses éléments permanents mais aussi bien s’il n’a pas une solide pratique des hommes et des choses, il sera incapable d’apprécier l’événement et même de le voir effectivement, et alors il retombera fatalement dans les ornières de ses idées préconçues », disait Bernard Voyenne. C’est ton aujourd’hui Yérim.
Revois tes cours de journalismes si tu en disposes! Tu te crois journaliste d’investigation oui pour les profanes mais pas pour les professionnels. Tu bafoues toutes les règles d’éthique et de déontologie. Les journalistes qui ont révélé l’affaire « Watergate » sont des investigateurs. Tu n’es pas une référence en matière d’investigation. La profession n’a pas besoin de peste et d’intrus.
Ne faudrait-il pas, pour l’émergence d’un Dakaractu meilleur, repenser sa communication sur la base d’une démarche équilibrée entre le professionnalisme et l’éthique ? William Randolph Heart avait l’habitude de dire à ses journalistes : « N’acceptez jamais que la vérité vous prive d’une bonne histoire ». Tu es tombé dans ce piège. Désolé pour notre métier.
Il faut décontaminer absolument Dakaractu c’est qu’on attend de toi. Les internautes ont besoin aujourd’hui d’une information « bio ». Pour s’imposer dans la profession, il ne s’agit pas de devenir un artiste. Il suffit simplement d’être un bon artisan...avoir un esprit créatif, être curieux dans le bon sens mais des qualités que l’on n’acquiert jamais sur les bancs d’une école de journalisme. Une leçon de notre Directeur. Sois responsable alors et agis en connaissance de cause en tant personne morale de Dakaractu.
Mame Cheikh Ahmed Tidiane Sy l’a bien dit: « Il est dix fois plus facile d’être un dispensateur d’injures que d’être un journaliste de vocation ». Le journaliste, ajoute t-il, « est un prophète ».
Par Mamadou Niang