Selon lui, au moment où le Sénégal attend ses premiers barils de pétrole et de gaz en 2023 et aspire à un accès universel à l'énergie avec des prix abordables, il serait paradoxal de produire du pétrole et de l'envoyer dans d'autres raffineries. « La Sar est un outil stratégique de l'État et nous veillerons à son bon fonctionnement. Car au moment où nous allons passer en production, il serait insensé d'aller raffiner notre pétrole ailleurs. Donc, nous serons extrêmement exigeants sur l'institution et les performances de la société », a-t-il dit.
Pour le moment, « il s’agit de la renflouer et de la recapitaliser pour lui permettre de faire face à ses obligations de modernisation et d’extension de capacités. Ça doit être compris pour tout le monde», a fait savoir le chef de l'Etat.
Pour le moment, « il s’agit de la renflouer et de la recapitaliser pour lui permettre de faire face à ses obligations de modernisation et d’extension de capacités. Ça doit être compris pour tout le monde», a fait savoir le chef de l'Etat.