Pour le Professeur Abdoulaye Seck, interrogé par "24 Heures", "nous avons essayé de savoir quel pourrait être l'impact de cette crise en termes de pauvreté. Et nous avons pu montrer qu'effectivement, la pauvreté augmenté de 17%. C'est-à-dire qu'on passerait de 38% à près de 55%".
A l'en croire, "si la perte est envisagée en termes absolus, l'agriculture revient en premier place avec 36% du montant total des pertes enregistrées par les ménages".
A l'en croire, "si la perte est envisagée en termes absolus, l'agriculture revient en premier place avec 36% du montant total des pertes enregistrées par les ménages".