D’après le Populaire, c’est, « en effet, vers les coups de 17 heures 55 minutes, alors qu’il se préparait à présider la messe paroissiale, qu’il a été alerté par ses vicaires qui ont trouvé à l’intérieur de l’église, sous le siège du célébrant principal, derrière l’autel, les gris-gris (amulettes). Sur place, après avoir constaté ce sacrilège, l’Abbé a invité les fidèles se trouvant à l’intérieur de l’église pour la messe à venir voir de leurs yeux ces « missiles » destinés probablement à faire « sauter » le curé ». Et nos confrères de révéler que « Abbé Mathias est devenu la cible d’un projet macabre d’une personne ou d’une bande de personnes qui ont décidé de passer, aujourd’hui, à la vitesse supérieure pour arriver à leurs fins sataniques ».
L’Abbé Mathias confie même que le secrétariat de la paroisse avait été cambriolé en septembre 2012 et que les malfaiteurs n’en sont pas à leur premier essai. « J’ai déposé une plainte contre X à la police et procédé à un réaménagement interne du personnel travaillant à la paroisse », a-t-il informé. « Depuis lors je fais l’objet de menaces et de tentatives d’intimidation de la part de personnes malintentionnées. C’est ainsi que le 26 décembre 2012, j’ai trouvé à la porte de mon bureau un sachet rempli de gris-gris », a-t-il renseigné. Et ce n’est pas tout, selon le Pop, « puisque le 2 avril dernier, ce prêtre a reçu une lettre de menaces dont la violence des termes donne froid au dos. Paradoxalement, l’Abbé Mathias affiche une sérénité à toute épreuve. C’est seulement après avoir célébré la messe qu’il a déposé hier, une seconde plainte à la police. Auparavant, il a prié et jeté au loin ces amulettes.
L’Abbé Mathias confie même que le secrétariat de la paroisse avait été cambriolé en septembre 2012 et que les malfaiteurs n’en sont pas à leur premier essai. « J’ai déposé une plainte contre X à la police et procédé à un réaménagement interne du personnel travaillant à la paroisse », a-t-il informé. « Depuis lors je fais l’objet de menaces et de tentatives d’intimidation de la part de personnes malintentionnées. C’est ainsi que le 26 décembre 2012, j’ai trouvé à la porte de mon bureau un sachet rempli de gris-gris », a-t-il renseigné. Et ce n’est pas tout, selon le Pop, « puisque le 2 avril dernier, ce prêtre a reçu une lettre de menaces dont la violence des termes donne froid au dos. Paradoxalement, l’Abbé Mathias affiche une sérénité à toute épreuve. C’est seulement après avoir célébré la messe qu’il a déposé hier, une seconde plainte à la police. Auparavant, il a prié et jeté au loin ces amulettes.