Un homme de 48 ans a été déféré mardi à la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Vélingara (sud) par les gendarmes pour vol d’un « béthio » (petit pagne) qu’il aurait subtilisé sur une palissade où l’avait mis à sécher sa propriétaire.
Les faits se sont produits récemment au village de Maoundé Banna (communauté rurale de Némataba), lorsqu’une dame s’étant absentée momentanément, après avoir lavé et mis à sécher son ‘’béthio’’, fut informée par son beau-frère que le vêtement de corps avait disparu.
De retour dare-dare au village, elle s’étonne à la volée de sa mésaventure et sa coépouse, une sourde muette, comprenant au quart de tour le sens de ses gesticulations, lui désigne un homme, sans doute un voisin, comme étant le voleur. Interpellé, ce dernier nie vertement, mais la victime tenaillée par la peur de recevoir un mauvais sort via son « béthio » disparu porte l’affaire auprès des gendarmes.
Face aux hommes en bleu, le mis en cause passe aux aveux, reconnaissant toutefois avoir trouvé le « béthio » à terre, sans doute le vent l’avait ôté de la palissade.
Malgré les assurances de l’homme qu’il n’avait aucunement subtilisé le vêtement de corps à partir de son séchoir et les médiations entreprises par des notables, il a fini par être déféré à la maison d’arrêt et de correction de Kolda.
Les faits se sont produits récemment au village de Maoundé Banna (communauté rurale de Némataba), lorsqu’une dame s’étant absentée momentanément, après avoir lavé et mis à sécher son ‘’béthio’’, fut informée par son beau-frère que le vêtement de corps avait disparu.
De retour dare-dare au village, elle s’étonne à la volée de sa mésaventure et sa coépouse, une sourde muette, comprenant au quart de tour le sens de ses gesticulations, lui désigne un homme, sans doute un voisin, comme étant le voleur. Interpellé, ce dernier nie vertement, mais la victime tenaillée par la peur de recevoir un mauvais sort via son « béthio » disparu porte l’affaire auprès des gendarmes.
Face aux hommes en bleu, le mis en cause passe aux aveux, reconnaissant toutefois avoir trouvé le « béthio » à terre, sans doute le vent l’avait ôté de la palissade.
Malgré les assurances de l’homme qu’il n’avait aucunement subtilisé le vêtement de corps à partir de son séchoir et les médiations entreprises par des notables, il a fini par être déféré à la maison d’arrêt et de correction de Kolda.
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