Plusieurs collectivités locales de la région de Dakar et de l’intérieur du pays sont en conflit avec la Société nationale d’électricité (Senelec) qui, prétextant des factures impayées, a coupé le courant dans différentes mairies. Et les collectivités locales contrôlées, pour l’essentiel, par l’opposition ont vite fait d’accuser Karim Wade d’être derrière cet acte de la Senelec. On se rappelle, d’ailleurs, que c’est le même Karim Wade qui en avait brandi la menace lors de son passage à l’Assemblée nationale.
Seulement, interpellé sur la question ce vendredi à Guédiawaye, le ministre Karim Wade n’a pas voulu assumer. « D’abord, je tiens à préciser que je n’ai pas demandé de couper le courant », dit-il. Avant de rappeler : « Il y a une société nationale d’électricité chargée de la gestion de cette question. Le payement de la facture d’électricité est un devoir pour chaque client de la Senelec. »
Par ailleurs, hué par des populations de Guédiawaye, notamment les élèves du Cem Canada qui demandent à étudier dans de bonnes conditions, Karim Wade a confié qu’il se chargera d’être leur relais auprès des autorités concernées. « En tout cas, je serais le relais auprès du Premier ministre pour que les cours se déroulent normalement », dit-il. Non sans souligner : « J’ai été élève et étudiant. Donc, je partage leurs soucis. »
Abdou Salam Touré
NETTALI.NET –
Seulement, interpellé sur la question ce vendredi à Guédiawaye, le ministre Karim Wade n’a pas voulu assumer. « D’abord, je tiens à préciser que je n’ai pas demandé de couper le courant », dit-il. Avant de rappeler : « Il y a une société nationale d’électricité chargée de la gestion de cette question. Le payement de la facture d’électricité est un devoir pour chaque client de la Senelec. »
Par ailleurs, hué par des populations de Guédiawaye, notamment les élèves du Cem Canada qui demandent à étudier dans de bonnes conditions, Karim Wade a confié qu’il se chargera d’être leur relais auprès des autorités concernées. « En tout cas, je serais le relais auprès du Premier ministre pour que les cours se déroulent normalement », dit-il. Non sans souligner : « J’ai été élève et étudiant. Donc, je partage leurs soucis. »
Abdou Salam Touré
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