Le Ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l’Aménagement des territoires a effectué, ce mardi 27 avril 2021, une deuxième visite de chantier de la deuxième phase du Projet de Gestion des Eaux pluviales et d’Adaptation au Changement climatique (PROGEP2), à Keur Massar et environs. Oumar Guèye était accompagné du Gouverneur de Dakar, Al Hassan Sall, d’autres autorités administratives, du Directeur de l’Agence de Développement municipal, des maires, des représentants des entreprises ainsi que les services techniques.
« Le 17 septembre 2020, le président de la République M. Macky Sall s’était rendu à Keur Massar et avait pris deux décisions au moment de cette visite, la première : ériger Keur Massar en département et la deuxième, régler définitivement le problème des inondations dans cette zone. Cette dernière décision majeure du Président, est en train d’être matérialisé, nous a fait savoir le ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l’Aménagement des territoires », a déclaré le ministre en charge des Collectivités territoriales, après avoir fait le tour des chantiers.
Avec sa délégation, il a visité les différents sites des travaux de réalisation de bassins et de canalisation. « Il y a eu une évolution par rapport à notre dernière visite. Nous avons visité tous les bassins (Keur Massar, ElHadji Pathé, Kamy Basse). Les canalisations sont en train de se rapprochées pour que les jonctions puissent être faites afin que les masses d’eau puissent être captées et transitées vers les bassins de stockage. Elles seront drainées vers le marigot de Mbao », a-t-il ajouté. Et de poursuivre, « 60% des travaux ont été réalisé et nous espérons avoir un produit fini en fin mai, pour le bonheur des populations de Keur Massar ».
Oumar Guèye dit suivre quotidiennement l’évolution des travaux de ces ouvrages et faire le point une fois par semaine, avec le directeur de l’Agence de développement municipal (ADM). « S’il a un chantier est très bien suivi par le président Macky Sall, c’est bien le PROGEP. Le Chef de l’État veut régler définitivement le problème des inondations, pour soulager les populations de Keur Massar et environs. C’est la raison pour laquelle nous suivons de très près ces chantiers. C’est notre deuxième visite en l’espace de deux mois », a-t-il souligné.
« Le 17 septembre 2020, le président de la République M. Macky Sall s’était rendu à Keur Massar et avait pris deux décisions au moment de cette visite, la première : ériger Keur Massar en département et la deuxième, régler définitivement le problème des inondations dans cette zone. Cette dernière décision majeure du Président, est en train d’être matérialisé, nous a fait savoir le ministre des Collectivités territoriales, du Développement et de l’Aménagement des territoires », a déclaré le ministre en charge des Collectivités territoriales, après avoir fait le tour des chantiers.
Avec sa délégation, il a visité les différents sites des travaux de réalisation de bassins et de canalisation. « Il y a eu une évolution par rapport à notre dernière visite. Nous avons visité tous les bassins (Keur Massar, ElHadji Pathé, Kamy Basse). Les canalisations sont en train de se rapprochées pour que les jonctions puissent être faites afin que les masses d’eau puissent être captées et transitées vers les bassins de stockage. Elles seront drainées vers le marigot de Mbao », a-t-il ajouté. Et de poursuivre, « 60% des travaux ont été réalisé et nous espérons avoir un produit fini en fin mai, pour le bonheur des populations de Keur Massar ».
Oumar Guèye dit suivre quotidiennement l’évolution des travaux de ces ouvrages et faire le point une fois par semaine, avec le directeur de l’Agence de développement municipal (ADM). « S’il a un chantier est très bien suivi par le président Macky Sall, c’est bien le PROGEP. Le Chef de l’État veut régler définitivement le problème des inondations, pour soulager les populations de Keur Massar et environs. C’est la raison pour laquelle nous suivons de très près ces chantiers. C’est notre deuxième visite en l’espace de deux mois », a-t-il souligné.
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