Différents cadres des Nations Unies ont reçu dans leurs boites électroniques une alerte envoyée par Karim Wade himself, informe Jotay.
« La décision de la 32e chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance (TGI) de Paris, qui a débouté le 26 septembre les autorités judiciaires sénégalaises de leur demande de confiscation de biens appartenant à Ibrahim Aboukhalil dit « Bibo Bourgi » et Karim Wade, conforte le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade. Les juges ont estimé que les faits invoqués contre les intéressés n’étaient pas constitutifs d’une infraction en France. S’appuyant sur la Convention franco-sénégalaise d’entraide judiciaire du 29 mars 1974, Dakar réclamait la confiscation, à son profit, des appartements parisiens, situés dans le 16e arrondissement, de Bibo Bourgi et de Karim Wade (rue de la Faisanderie), ainsi que celle du compte bancaire de ce dernier à la Société générale. »
Selon l’organe qui a posté cette « alerte », en mars, Karim Wade a déposé plainte à Paris pour« détention arbitraire » contre l’Etat sénégalais. Déclarée recevable, cette plainte est actuellement en cours d’instruction. Il a initié une action similaire en juin dernier auprès du Comité des droits de l’homme de l’ONU, à Genève. Karim Wade a par ailleurs déjà obtenu, par une déclaration solennelle des Nations Unies, la reconnaissance du caractère arbitraire de sa détention (2013-2016) à la maison d’arrêt de Rebeuss (Dakar).
« La décision de la 32e chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance (TGI) de Paris, qui a débouté le 26 septembre les autorités judiciaires sénégalaises de leur demande de confiscation de biens appartenant à Ibrahim Aboukhalil dit « Bibo Bourgi » et Karim Wade, conforte le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade. Les juges ont estimé que les faits invoqués contre les intéressés n’étaient pas constitutifs d’une infraction en France. S’appuyant sur la Convention franco-sénégalaise d’entraide judiciaire du 29 mars 1974, Dakar réclamait la confiscation, à son profit, des appartements parisiens, situés dans le 16e arrondissement, de Bibo Bourgi et de Karim Wade (rue de la Faisanderie), ainsi que celle du compte bancaire de ce dernier à la Société générale. »
Selon l’organe qui a posté cette « alerte », en mars, Karim Wade a déposé plainte à Paris pour« détention arbitraire » contre l’Etat sénégalais. Déclarée recevable, cette plainte est actuellement en cours d’instruction. Il a initié une action similaire en juin dernier auprès du Comité des droits de l’homme de l’ONU, à Genève. Karim Wade a par ailleurs déjà obtenu, par une déclaration solennelle des Nations Unies, la reconnaissance du caractère arbitraire de sa détention (2013-2016) à la maison d’arrêt de Rebeuss (Dakar).
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