Pour qu’ENEA (Ecole Nationale de l'Economie Aplliquée) soit ESEA (Ecole Supérieure de l'Economie Aplliquée) il faut :
1. Une loi constituant l’Ecole Nationale d’Economie Appliquée en établissement public de l’UCAD sous dénomination de l’Ecole Supérieure
d’Economie Appliquée
2. Un décret complétant l’article 3 du décret n°70-1135 du 13 Octobre 1970 portant statut de l’Université de Dakar
(rattachement de l’ESEA)
3. Un décret portant organisation et fonctionnement de l’ESEA Ces trois sont toujours des projets dans le circuit d’après notre administration et le rectorat. Ils doivent être présentés à l’assemblée de l’UCAD pour examen et adoption avant leur transmission au ministère en charge de l’enseignement supérieur.
Depuis prés de 5ans, l’appellation ESEA prend le devant sur ENEA et nul ne répond à la question sur le niveau d’avancement de ces projets de lois. Les étudiants veulent comprendre aujourd’hui. Sans ces textes réglementaires, le recteur ne pourra pas signer les diplômes de l’Ecole, sans ces textes, l’école risque de se perdre dans un vide juridique. Est-ce qu’une Ecole qui forme depuis 1963 des cadres supérieurs qui ont fait leurs preuves sur la scène internationale mérite ce sort ? Est qu’une Ecole qui s’active sur les problématiques de développement dans un pays comme le Sénégal mérite ce sort ? Est-ce que ces jeunes qui se sont battu pour entrer dans cette école méritent des
frustrations à cause d’une inhibition des canaux de l’administration ?
Les étudiants n’ont fait que poser une question, ils ont droit à une réponse mais une réponse autre que « nous avons perdu les bordereaux d’envoi » comme l’a affirmé notre administration lors d’une réunion avec l’amicale. Une seule solution pour une sortie de crise : terminer cette
procédure en finalisant avec ces trois textes relatifs à l’organisation et au fonctionnement de l’Ecole. Sinon, le calme peut revenir, mais il ne sera
pas durable car les étudiants sont désormais conscients de la situation.
echoscampus.com
1. Une loi constituant l’Ecole Nationale d’Economie Appliquée en établissement public de l’UCAD sous dénomination de l’Ecole Supérieure
d’Economie Appliquée
2. Un décret complétant l’article 3 du décret n°70-1135 du 13 Octobre 1970 portant statut de l’Université de Dakar
(rattachement de l’ESEA)
3. Un décret portant organisation et fonctionnement de l’ESEA Ces trois sont toujours des projets dans le circuit d’après notre administration et le rectorat. Ils doivent être présentés à l’assemblée de l’UCAD pour examen et adoption avant leur transmission au ministère en charge de l’enseignement supérieur.
Depuis prés de 5ans, l’appellation ESEA prend le devant sur ENEA et nul ne répond à la question sur le niveau d’avancement de ces projets de lois. Les étudiants veulent comprendre aujourd’hui. Sans ces textes réglementaires, le recteur ne pourra pas signer les diplômes de l’Ecole, sans ces textes, l’école risque de se perdre dans un vide juridique. Est-ce qu’une Ecole qui forme depuis 1963 des cadres supérieurs qui ont fait leurs preuves sur la scène internationale mérite ce sort ? Est qu’une Ecole qui s’active sur les problématiques de développement dans un pays comme le Sénégal mérite ce sort ? Est-ce que ces jeunes qui se sont battu pour entrer dans cette école méritent des
frustrations à cause d’une inhibition des canaux de l’administration ?
Les étudiants n’ont fait que poser une question, ils ont droit à une réponse mais une réponse autre que « nous avons perdu les bordereaux d’envoi » comme l’a affirmé notre administration lors d’une réunion avec l’amicale. Une seule solution pour une sortie de crise : terminer cette
procédure en finalisant avec ces trois textes relatifs à l’organisation et au fonctionnement de l’Ecole. Sinon, le calme peut revenir, mais il ne sera
pas durable car les étudiants sont désormais conscients de la situation.
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