Tancé sur les réseaux sociaux pour avoir mimé un égorgement en guise de célébration lors d'une rencontre Côte d'Ivoire - Mali, le joueur du PSG Serge Aurier fait actuellement l'objet d'une "enquête préliminaire", a indiqué la Fifa.
C'est une période décidément compliquée pour Serge Aurier. Dans la soirée du jeudi 13 octobre, la Fifa a annoncé qu'une "enquête préliminaire" avait été ouverte à la suite du match Côte d'Ivoire - Mali (3-1), comptant pour les qualifications au Mondial-2018. L'instance suprême du football a annoncé vouloir se pencher sur le geste effectué par le défenseur du PSG en guise de célébration d'un but dont il était à l'origine.
Autour de la demi-heure de jeu samedi soir à Bouaké, l'arrière droit a centré et provoqué un but contre son camp d'un Malien, donnant l'avantage aux Ivoiriens (2-1 à ce moment là). Il l'a alors célébré en se frappant la poitrine du bras droit puis en mimant un égorgement, en direction des tribunes. Le geste du joueur parisien avait agité les réseaux sociaux, suscitant sarcasmes ou messages de défiance à l'égard des médias.
Côté pile, côté face
Aurier, 23 ans, a plusieurs fois défrayé la chronique ces derniers mois. Fin septembre, il a été condamné à deux mois de prison ferme après une altercation avec des policiers à Paris. En février, il avait insulté et moqué son entraîneur du PSG d'alors, Laurent Blanc, et certains de ses coéquipiers, sur l'application Periscope.
Lors du Côte d'Ivoire - Mali de samedi dernier, Aurier avait aussi eu un geste secourable : il avait évité à un joueur d'avaler sa langue après un choc dans un duel, comme l'avait raconté le sélectionneur du Mali, le Français Alain Giresse, mercredi sur la radio RMC.
"Aurier a eu un réflexe énorme. Je lui en ai parlé après et je l'ai même remercié d'avoir eu ce sang-froid", a ajouté l'ex-membre du carré magique des Bleus des années 1980.
Avec AFP
C'est une période décidément compliquée pour Serge Aurier. Dans la soirée du jeudi 13 octobre, la Fifa a annoncé qu'une "enquête préliminaire" avait été ouverte à la suite du match Côte d'Ivoire - Mali (3-1), comptant pour les qualifications au Mondial-2018. L'instance suprême du football a annoncé vouloir se pencher sur le geste effectué par le défenseur du PSG en guise de célébration d'un but dont il était à l'origine.
Autour de la demi-heure de jeu samedi soir à Bouaké, l'arrière droit a centré et provoqué un but contre son camp d'un Malien, donnant l'avantage aux Ivoiriens (2-1 à ce moment là). Il l'a alors célébré en se frappant la poitrine du bras droit puis en mimant un égorgement, en direction des tribunes. Le geste du joueur parisien avait agité les réseaux sociaux, suscitant sarcasmes ou messages de défiance à l'égard des médias.
Côté pile, côté face
Aurier, 23 ans, a plusieurs fois défrayé la chronique ces derniers mois. Fin septembre, il a été condamné à deux mois de prison ferme après une altercation avec des policiers à Paris. En février, il avait insulté et moqué son entraîneur du PSG d'alors, Laurent Blanc, et certains de ses coéquipiers, sur l'application Periscope.
Lors du Côte d'Ivoire - Mali de samedi dernier, Aurier avait aussi eu un geste secourable : il avait évité à un joueur d'avaler sa langue après un choc dans un duel, comme l'avait raconté le sélectionneur du Mali, le Français Alain Giresse, mercredi sur la radio RMC.
"Aurier a eu un réflexe énorme. Je lui en ai parlé après et je l'ai même remercié d'avoir eu ce sang-froid", a ajouté l'ex-membre du carré magique des Bleus des années 1980.
Avec AFP
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