Le président de la Ligue sénégalaise de lutte contre le cancer, Mamadou Diop, a profité de leur rencontre d’aujourd’hui en marge de la campagne de dépistage, pour sensibiliser les populations sur l'avancée de cette maladie dans le pays. Selon le médecin de l’hôpital « Le Dantec », le « cancer du sein est le deuxième cancer le plus fréquent chez les femmes » après celui du « col de l’utérus ». Le spécialiste a donc tiré l’attention des populations sur la nécessité de prendre des mesures contre « le développement de cette maladie » au niveau de la couche féminine.
Pour apporter des preuves sur la « progression » de ce type de cancer, Mamadou Diop qui cite un document, a affirmé que « le cancer du sein a tué 472 femmes au Sénégal en 2008 ». Il poursuit pour annoncer que « 853 nouveaux cas » sont enregistrés chaque année. Face à ce problème, la Ligue contre le cancer va organiser des séances de « dépistage par la mammographie », qui seront gratuites. Elles auront lieu dans de « Kaolack, du 13 au 14 novembre et Thies, du 15 au 16 novembre 2012 ». Consciente de la nécessité de couvrir tout le territoire nationale, la Ligue va « organiser un téléthon » pour mobiliser des fonds afin d'initier la campagne « Une région, une mammographie ».
L’appel est donc lancé aux populations concernées pour procéder à ce dépistage car avec « le diagnostic tardif », le traitement nécessite « une chimiothérapie » dont le coût peut atteindre 1 million de f cfa.
Pour apporter des preuves sur la « progression » de ce type de cancer, Mamadou Diop qui cite un document, a affirmé que « le cancer du sein a tué 472 femmes au Sénégal en 2008 ». Il poursuit pour annoncer que « 853 nouveaux cas » sont enregistrés chaque année. Face à ce problème, la Ligue contre le cancer va organiser des séances de « dépistage par la mammographie », qui seront gratuites. Elles auront lieu dans de « Kaolack, du 13 au 14 novembre et Thies, du 15 au 16 novembre 2012 ». Consciente de la nécessité de couvrir tout le territoire nationale, la Ligue va « organiser un téléthon » pour mobiliser des fonds afin d'initier la campagne « Une région, une mammographie ».
L’appel est donc lancé aux populations concernées pour procéder à ce dépistage car avec « le diagnostic tardif », le traitement nécessite « une chimiothérapie » dont le coût peut atteindre 1 million de f cfa.