La Journée internationale dédiée aux femmes du 8 mars de chaque année, est sans conteste un moment privilégié notamment pour les Sénégalaises de tabler sur les avancées dans la lutte pour la promotion du droit de la femme au Sénégal. Et comme d’habitude, c’est la question de l’égalité de représentation des hommes et des femmes dans les instances de décision communément appelée la « parité » s’invite toujours à l’ordre jour. Les femmes restent largement sous-représentées aux postes de décision politique et publique dans bon nombre d’Etats d’ici ou d’ailleurs.
Au Sénégal, malgré l’existence d’une égalité de droit, le partage des pouvoirs et des responsabilités entre femmes et hommes ainsi que l’accès aux ressources économiques, sociales et culturelles demeurent très inégalitaires en raison de la persistance de modèles traditionnels de répartition des rôles, il s’avère difficile de dresser un pourcentage global de représentation des femmes dans les instances décisionnelles, mais force est de noter que des stratégies, pour améliorer leur intégration, sont régulièrement élaborées, car elles jouent un rôle fondamental dans le développement du pays.
Dans un contexte marqué par une crise sociale et économique mondiale, qui se pose avec acuité au Sénégal, les femmes, surtout les plus démunies, sont concernées au premier plan. Dès lors, la question de la parité qui constitue le côté vulnérable de leur combat ne peut être occultée. Et aujourd’hui dans la Constitution sénégalaise, il y a un point qui intègre cette question, mais il reste encore à l’appliquer à plusieurs niveaux. Donc on ne peut pas parler ici au Sénégal de parité. On ne peut pas faire de parallélisme des formes. Parce qu’on n’a pas encore harmonisé tous nos textes législatifs et réglementaires avec ce qui se fait au niveau régional comme au niveau international.
Toutefois, en ce qui concerne l’égalité des sexes, ces objectifs ne sont pas atteints notamment du point de vue économique car le budget qui permet de mettre en place une politique pour que les populations puissent elles-mêmes sentir les effets bénéfiques de cet engagement politique recèle des manquements. Aujourd’hui on ne peut dire réellement qu’il y a une prise en charge totale ? Existe ou n’existe pas ? La parité reste encore à élucider au Sénégal du fait qu’elle renferme des entendements qui varient selon que l’on se positionne notamment sur le plan institutionnel ou religieux.
Au Sénégal, malgré l’existence d’une égalité de droit, le partage des pouvoirs et des responsabilités entre femmes et hommes ainsi que l’accès aux ressources économiques, sociales et culturelles demeurent très inégalitaires en raison de la persistance de modèles traditionnels de répartition des rôles, il s’avère difficile de dresser un pourcentage global de représentation des femmes dans les instances décisionnelles, mais force est de noter que des stratégies, pour améliorer leur intégration, sont régulièrement élaborées, car elles jouent un rôle fondamental dans le développement du pays.
Dans un contexte marqué par une crise sociale et économique mondiale, qui se pose avec acuité au Sénégal, les femmes, surtout les plus démunies, sont concernées au premier plan. Dès lors, la question de la parité qui constitue le côté vulnérable de leur combat ne peut être occultée. Et aujourd’hui dans la Constitution sénégalaise, il y a un point qui intègre cette question, mais il reste encore à l’appliquer à plusieurs niveaux. Donc on ne peut pas parler ici au Sénégal de parité. On ne peut pas faire de parallélisme des formes. Parce qu’on n’a pas encore harmonisé tous nos textes législatifs et réglementaires avec ce qui se fait au niveau régional comme au niveau international.
Toutefois, en ce qui concerne l’égalité des sexes, ces objectifs ne sont pas atteints notamment du point de vue économique car le budget qui permet de mettre en place une politique pour que les populations puissent elles-mêmes sentir les effets bénéfiques de cet engagement politique recèle des manquements. Aujourd’hui on ne peut dire réellement qu’il y a une prise en charge totale ? Existe ou n’existe pas ? La parité reste encore à élucider au Sénégal du fait qu’elle renferme des entendements qui varient selon que l’on se positionne notamment sur le plan institutionnel ou religieux.