Le ministre de l’Intérieur est toutefois revenu sur les informations livrées par la presse et qui faisaient état de cette affaire. A l’en croire, ces informations étaient le fait d’un malfaiteur nigérian arrêté et mis à la disposition de la justice. « Puisqu’on se situait à ce niveau, j’ai dit à l’époque, attendons de voir ce que la justice va dire », a-t-il déclaré.
D'après nos confrères, il a ajouté : « Personne n’est mieux placé que le magistrat, le procureur, pour nous édifier sur une affaire qui nous est arrivée, voilà le traitement que nous en faisons, et voilà la décision que nous comptons prendre ». Aussi, le ministre dit-il attendre que la justice livre ses conclusions et les résultats de l’enquête qu’elle a commandée. Concernant les interpellations du Commissaire Keïta, l’invitant à saisir ses chefs, il dit ne pas le suivre car son département est hiérarchisé. « Dans tous les cas, je n’entends pas intervenir dans ce duel fratricide entre responsables de la police », a-t-il conclu.
D'après nos confrères, il a ajouté : « Personne n’est mieux placé que le magistrat, le procureur, pour nous édifier sur une affaire qui nous est arrivée, voilà le traitement que nous en faisons, et voilà la décision que nous comptons prendre ». Aussi, le ministre dit-il attendre que la justice livre ses conclusions et les résultats de l’enquête qu’elle a commandée. Concernant les interpellations du Commissaire Keïta, l’invitant à saisir ses chefs, il dit ne pas le suivre car son département est hiérarchisé. « Dans tous les cas, je n’entends pas intervenir dans ce duel fratricide entre responsables de la police », a-t-il conclu.