La pose de la première pierre de l’école élémentaire de la Cité Avion de Ouakam, qui devait se tenir hier, a été reporté à une date ultérieure. Le maire de la commune de Ouakam, Samba Bathilly Diallo, dit avoir reçu une lettre du sous-préfet indiquant le report de la cérémonie, sous prétexte de trouble à l’ordre public.
« Il parait qu’il y a une famille qui se dit être propriétaire du terrain, cela est faux. C’est un terrain non immatriculé », déclare le maire de Ouakam qui ajoute : « Un terrain non immatriculé est du ressort des collectivités locales ». Aussi, a-t-il manifesté toute sa déception précisant qu’il ne reculera pas. « L’intérêt public prime sur l’intérêt individuel », a laissé entendre Samba Bathilly Diallo.
A la Cité avion, qui abrite le 1/3 de la population de Ouakam, avoisinant les 40 000 âmes, il n’y a aucune infrastructure. A l’en croire, ce n’est pas normal que certains veuillent aller à son encontre. « C’est difficile pour les collectivités locale de subvenir à leurs besoins. Moi, en tant que le maire, je ne céderai pas. Je me battrai pour que cet école puisse être édifiée au niveau de la Cité Avion », insiste-t-il. Selon lui, des partenaires ont déboursés 80 000 000 FCfa pour cette école primaire. Cette dernière sera composée de six classes, un bureau du directeur et des toilettes, en attendant l’année prochaine pour renouveler la même action. Pour le moment, M. Diallo dit qu'il va juste se plier à la décision du sous-préfet.
« Il parait qu’il y a une famille qui se dit être propriétaire du terrain, cela est faux. C’est un terrain non immatriculé », déclare le maire de Ouakam qui ajoute : « Un terrain non immatriculé est du ressort des collectivités locales ». Aussi, a-t-il manifesté toute sa déception précisant qu’il ne reculera pas. « L’intérêt public prime sur l’intérêt individuel », a laissé entendre Samba Bathilly Diallo.
A la Cité avion, qui abrite le 1/3 de la population de Ouakam, avoisinant les 40 000 âmes, il n’y a aucune infrastructure. A l’en croire, ce n’est pas normal que certains veuillent aller à son encontre. « C’est difficile pour les collectivités locale de subvenir à leurs besoins. Moi, en tant que le maire, je ne céderai pas. Je me battrai pour que cet école puisse être édifiée au niveau de la Cité Avion », insiste-t-il. Selon lui, des partenaires ont déboursés 80 000 000 FCfa pour cette école primaire. Cette dernière sera composée de six classes, un bureau du directeur et des toilettes, en attendant l’année prochaine pour renouveler la même action. Pour le moment, M. Diallo dit qu'il va juste se plier à la décision du sous-préfet.