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Le Concile des Retraités dénonce le manque de solidarité sociale à l’IPRES


Rédigé par leral.net le Mardi 7 Août 2018 à 11:52 | | 0 commentaire(s)|

LETTRE OUVERTE AU DG DE L'IPRES
 
Sujet : Demandes du Concile des Retraités
 
 
Monsieur le Directeur Général de l’IPRES,
 
 
Nous venons par la présente lettre, mettre à témoin les citoyens et les citoyennes de notre pays le Sénégal ainsi que les autorités publiques, sur la gravité d'une arnaque institutionnelle qui nous aurait pris toute une vie pour le réaliser et que loin de rester victimes, nous tenons à remédier promptement.
 
Il serait présomptueux de vouloir redorer le blason de l’IPRES alors que les gestionnaires et les cadres qui la dirige, restent aussi crapuleux qu’a été la négligence des contribuables à remettre leurs sorts aux mains de ces prédateurs.
 
Dorénavant, nous voulons que les cadres et dirigeants de l’IPRES comprennent que la pension du retraité n’est pas une allocation sociale, ni une variable d’ajustement mais, un DROIT acquis par le travail. Nous ne serons pas des mendiants pour nos droits devant des gestionnaires de notre patrimoine, alors qu’il appartient à ceux-là mêmes, de nous montrer toute leur gratitude pour leurs emplois.
 
Dès lors, il ne s’agit plus pour nous de nous plaindre alors que les griefs de plusieurs générations de retraités n’ont jamais été entendus, mais d’assurer aux dirigeants de l’IPRES notre résolution qu’à partir de ce jour, nous répondrons par des représailles chaque fois que nous trouverons devant les malices de leurs actes. Croyez en notre détermination que le gavage à la « Paracetamol » * et tant d'autres indignités ne seront que de malheureux souvenirs du passé, lorsque les retraités auront affaire avec l’IPRES.
 
L’ une des principales causes de décès des retraités est iatrogénique. C’est- à-dire, que plusieurs retraités meurent des mains de leurs médecins ou à cause de médicaments prescrits par eux. Il ne fait aucun doute que certains par leurs attitudes irresponsables, contribuent par leurs conseils aux dangers de l’automédication de certains retraités.
 
Nous, le Concile des Retraités, exigeons que l’IPRES révise les minima des  pensions avec tous les arriérés à la date de maturité des retraités, obligatoirement et rétroactivement sur la base que depuis sa création, les investissements et placements financiers permettaient à l’IPRES de couvrir toutes les exigences financières.
 
Les retraités sont en droit d’exiger que les gains sur le fardeau des placements publics qu’ils auraient portés pendant toute une vie de labeur, soient partagés à partir des réserves acquises par l'IPRES.
 
Nous exigeons que chaque personne qui aurait travaillé une année entière, bénéficie d’un remboursement global de ses cotisations multipliées de 20 pour cent d’intérêt par jour d’arriérés pour autant que cette institution rémunère tout un soi-disant Conseil d’administration aux fonctions superflues.
 
Nous exigeons de nouvelles mesures d’austérité budgétaire de la direction y compris celle de geler les salaires et les privilèges de tous les cadres pour 8 années pendant que l'IPRES améliore tous ses services aux retraités et dans toutes les régions du Sénégal.
 
Il y a peut-être des cadres de l’IPRES qui n’ont pas encore compris la mesure de cette lettre mais nous leur ferons subir, eux et aussi bien leurs biens aimés, les mêmes chagrins que les victimes, piliers de famille et parents nobles alors ces derniers espéraient partager la richesse de leurs expériences et vécus juste pour quelques années encore.
 
Nous déplorons que les médias soient complices par l’omerta sur  les tragédies des hommes et des femmes retraités qui meurent par des actes criminels de l’IPRES. Les anecdotes sont trop nombreuses et trop récurrentes. Mais, dorénavant, notre vengeance sera vie pour vie, jusqu’à ce qu’on comprenne au Sénégal et dans toutes les institutions, que la vie est l’ultime richesse de tout être et citoyen.
 
 
Pour le Concile des Retraités
Dieme dit Guérillero
* Nous accusons des personnes malintentionnées au sein de la direction de L’IPRES et ses services médicaux qui cautionneraient une euthanasie eugénique puisqu’ ils savent pertinemment qu’il y a de fortes chances que les retraités meurent d’intoxication par le paracétamol (ou acétaminophène)  prescrit et par overdose quand cela n’augmente également le risque de maladies cardiovasculaires, d'hémorragies digestives et de problèmes rénaux.