Les trafiquants de bois en Casamance, premières « victimes » de la nouvelle ère Sénégalo-gambienne ? En tout cas, les deux chefs d’Etats ont décidé de mettre fin au trafic de bois en Casamance destiné essentiellement au marché gambien. Ce business du bois serait, selon le Président du Sénégal, une des causes de l’insécurité grandissante dans les deux pays. Les deux voisins vont donc se liguer pour mieux organiser le secteur, et ce, de manière à éviter la destruction de la forêt en Casamance.
Se prononçant sur les précédentes mesures prises à cet effet, le présent Sall estime que depuis 6 mois, ils ont déployé des moyens importants pour essayer d’anéantir ce fléau. Et que « si nous parvenons à organiser des concertations entre les acteurs concernés, on pourra parvenir à assainir le secteur du bois et permettre à l’activité licite de se développer sous contrôle des services des Eaux et Forêts des deux pays ».
Pour sa part, le président Barrow a réitéré son engagement à combattre les trafics de bois dans son pays. D’ailleurs, il a, à l’occasion, souligné les actes posés par son gouvernement dans ce sens : « Avant de venir, j’ai discuté avec les hommes d’affaires qui s’activent dans le bois pour leur dire que tout business entre le Sénégal et la Gambie doit désormais être légal. On n’acceptera plus le trafic de bois en Gambie », avertit le nouvel homme fort de Banjul qui rappelle qu’au-delà du fait que la sécurité des deux pays soit liée, il urge de trouver un moyen pour mieux sécuriser les frontières.
Se prononçant sur les précédentes mesures prises à cet effet, le présent Sall estime que depuis 6 mois, ils ont déployé des moyens importants pour essayer d’anéantir ce fléau. Et que « si nous parvenons à organiser des concertations entre les acteurs concernés, on pourra parvenir à assainir le secteur du bois et permettre à l’activité licite de se développer sous contrôle des services des Eaux et Forêts des deux pays ».
Pour sa part, le président Barrow a réitéré son engagement à combattre les trafics de bois dans son pays. D’ailleurs, il a, à l’occasion, souligné les actes posés par son gouvernement dans ce sens : « Avant de venir, j’ai discuté avec les hommes d’affaires qui s’activent dans le bois pour leur dire que tout business entre le Sénégal et la Gambie doit désormais être légal. On n’acceptera plus le trafic de bois en Gambie », avertit le nouvel homme fort de Banjul qui rappelle qu’au-delà du fait que la sécurité des deux pays soit liée, il urge de trouver un moyen pour mieux sécuriser les frontières.