Le Synpics estime que le patron du Groupe avenir communication (Gac) éditeur du journal Le Quotidien « a manifestement violé la législation du droit du travail en matière de licenciement économique en se séparant de 4 agents dont 3 qui comptent une expérience de 10 ans au sein de l’entreprise ». Aussi, a-t-il appelé, dans un communiqué, « à une série d’actions comme le port de brassards rouges dans les rédactions le 11 de chaque mois ». Le Synpics compte également organiser une campagne d’affichage pour dénoncer l’attitude de Madiambal Diagne.
Interpellé, le Directeur de Gac ne semble pas perturbé outre mesure par le mouvement d’humeur de ses employés. « Ça me fait rire », a-t-il lancé d’emblée à nos confrères qui l’ont joint au téléphone. Il estime que « la démarche du syndicat est puérile ». « Le Ben devrait se consacrer à d’autres problèmes plus sérieux dans le milieu des médias. Il y a des entreprises de presse qui sont à 1 an d’arriérées de salaires. Moi, je ne dois rien à personne au sein de mon entreprise », s’est-il défendu relevant que, au Sénégal, plusieurs entreprises de presse ne respectent pas la Convention collective des journalistes. Ce qui n’est pas, soutient-il, son cas.
Teloodia Diatta
Interpellé, le Directeur de Gac ne semble pas perturbé outre mesure par le mouvement d’humeur de ses employés. « Ça me fait rire », a-t-il lancé d’emblée à nos confrères qui l’ont joint au téléphone. Il estime que « la démarche du syndicat est puérile ». « Le Ben devrait se consacrer à d’autres problèmes plus sérieux dans le milieu des médias. Il y a des entreprises de presse qui sont à 1 an d’arriérées de salaires. Moi, je ne dois rien à personne au sein de mon entreprise », s’est-il défendu relevant que, au Sénégal, plusieurs entreprises de presse ne respectent pas la Convention collective des journalistes. Ce qui n’est pas, soutient-il, son cas.
Teloodia Diatta