Fidèle à sa conception intégrale de questions de principe, le religieux n'a pas du tout apprécié la démarche de l'opposition regroupée au sein du Front patriotique pour la défense de la République (Fpdr) qui consiste à rendre la vie dure au président de la République pour la libération de Karim Wade. Invité par le section jeunesse Khadria de Pikine, Cheikh Bakhaida Aidara a déclaré que "des propos très discourtois, regrettables, incitatifs à la violence ont été entendus la semaine passée des bouches de hauts responsables. Qu'ils sachent qu'inciter les gens à la violence, ce n'est pas cela le Sénégal". Avant de préciser que "nous n'avons rien contre leur ambition. Mais, ils sont coutumiers des faits, ils doivent arrêter d'appeler les gens à la violence". A l’en croire, "toutes les religions condamnent l'utilisation de la violence dans toute chose". Raison suffisante pour le guide d’appeler les homme politiques à apprendre à être cohérents dans ce qu'ils font, parce que "un jour nous allons tous rendre comptent de ce qu'on a fait devant Allah", lâche-t-il.
Poursuivant son réquisitoire contre ceux qui appellent à la violence, le guide de la jeunesse khadria dira: "Macky Sall est au pouvoir aujourd'hui par la volonté d'Allah. Nier ou refuser cela veut dire q'on s'offusque de la volonté divine. C'est lui qu'Allah a choisi parmi tant d'autre, nous prions pour que le fardeau soit plus allégé pour lui". D'ailleurs, il déplore le caillassage du cortège du chef de l'Etat à l'Université de Dakar. "Cela ne doit plus se reproduire dans un pays comme le Sénégal", s'est désolé Cheikh Bakhaida Aidara.
Poursuivant son réquisitoire contre ceux qui appellent à la violence, le guide de la jeunesse khadria dira: "Macky Sall est au pouvoir aujourd'hui par la volonté d'Allah. Nier ou refuser cela veut dire q'on s'offusque de la volonté divine. C'est lui qu'Allah a choisi parmi tant d'autre, nous prions pour que le fardeau soit plus allégé pour lui". D'ailleurs, il déplore le caillassage du cortège du chef de l'Etat à l'Université de Dakar. "Cela ne doit plus se reproduire dans un pays comme le Sénégal", s'est désolé Cheikh Bakhaida Aidara.